* Devenir animagus était un des objectifs de Bronwyn ou plutôt c’était un de ses rêves. Elle rêvait de faire la rencontre de son animal totem et d’apprendre à l’apprivoiser. L’exclamation de la Omen la tira de ses rêveries. Ainsi elle semblait très proche du formateur Haile Lingo. Peut-être qu’elle pourrait l’aider à intégrer la formation. Mais bon demander à cela à Matka serait bien inconvenant et la politesse était une chose importante pour Bronwyn. *

« Tu sembles bien le connaître » * dit-elle d’une voix traînante.

La Densmore se releva en rangeant son ouvrage qu’elle finira sans doute de lire dans son lit ce soir dans son dortoir. Les yeux de Bronwyn détaillèrent l’attitude de sa camarade Vipère. *

« Si notre conversation t’ennuie, je peux te libérer de cela. Si tu souhaites partir vaquer à d’autres occupations, vas-y je t’en prie. Je ne veux surtout pas que ma compagnie t’ennuie. »

* Bronwyn ramassa ses affaires et se rapprocha un peu de Matka pour voir la réponse qu’elle allait lui faire. Allait elle être honnête ou allait elle lui mentir ? Bronwyn était douée pour comprendre quand on lui mentait. Il suffisait de lire dans l’attitude des personnes, c’était largement suffisant pour découvrir les arrières pensées et avoir moins de surprise. *

La jeune fille était de nature timide et donc n'allait pas facilement vers les autres. Heureusement que cette deuxième année était venue à sa rencontre sinon, Hope serait restée seule. Elle sourit donc à son interlocutrice avant d'envisager de répondre.

Oui c'est sympa, mais, je t'avoue être un peu perdu dans cet immense château. En plus, pour le moment, je ne connais pas grand monde alors je suis vraiment ravie de pouvoir papoter avec quelqu'un.

répondit alors la blairelle. De plus étant une née moldue, elle en apprenait un peu plus tous les jours sur le monde magique qui était encore inconnu il y avait quelques semaines de ça.

* Bronwyn préféra ne pas souligner la nature de la relation entre Haile Lingo et Matka. La première raison était que cela ne la regardait pas en soi, elle n’était ni de l’un ni de l’autre. La seconde était que cette conversation commençait à l’ennuyer ; cela manquait de punch. La Densmore était plus ou moins déçue, elle serait attendu à plus de pics de la part de la Omen. Mais cela risquait de devenir puérile et les deux Serpentards n’étaient plus en première année. Elles étaient au dessus de ça. *

« Bonne soirée Matka. » * dit-elle avec un léger sourire.

Elle observa la Omen partir en direction du château en se disant qu’elle aussi commençait à avoir faim. L’heure de l’après-midi avait passé vite. La Densmore amassa ses affaires et partit à son tour en direction du château. Elle passa entre les différents élèves qui circulaient pour regagner ses pénates.

Bronwyn observa une dernière fois le ciel à la recherche d’un indice de son animal totem. Depuis quelques temps elle était vraiment obsédé par cette quête ! Mais elle savait qu’elle allait finir par y arriver ! *

La blairelle disait être perdue dans le château, normal elle vient d'arriver, il lui faut me temps de prendre ses marques et de faire connaissances avec d'autres élèves que soient de Poufsouffle ou pas.

C'est vrai que le château est grand, mais ne t'en fait pas,une fois que tu t'y seras habituée ça ira mieux.

Je suis sûre que tu te feras vue des amies, beaucoup de monde est sympa ici tu verras

La première année était contente de parler à quelqu'un, ce qui n'étonnait pas Ellie, quand on se sent un peu perdue c'est normal de vouloir connaître quelqu'un.

Toujours aussi curieuse, la jeune fille continua de poser des questions.

Tu viens d'où ? Tu es d'une famille de sorcier ou pas du tout ?

En effet, la jeune Hope était vraiment perdu dans cette immense chateau. Elle n'avait jamais dormi en école avant ça, et même, c'était quelque chose de nouveau, surtout quand on pense que la sorcellerie, avant ça, pour elle c'était juste dans un bon bouquin ou dans les films.

Elle fit un signe de tête lorsque son interlocutrice lui confirme bel et bien que cet endroit était vraiment grand. J'espère bien m'en sortir car là je me perd facilement, surtout que je n'ai pas le sens de l'orientation, avoua t-elle penaude. J'espère m'en faire, dit elle un brin timide.

Hope la blairette était vraiment ravie de se faire une connaissance, ainsi, elle se sentirait moins seule. Je viens de Londres, et avant ça, je n'avais aucunes connaissances de la magie. Mes parents m'ont même traiter de monstre. dit elle un brin de tristesse dans la voix. Elle avait peur d'arriver en fin d'année car craignait les retrouvailles avec sa famille.

La première année était timide mais Ellie pensait qu'elle évoluerait avec le temps. Mais elle fut attristée par ce que venait de dire Hope, ses parents la traitait de monstre parce qu'elle avait un lien avec la magie.

Oh, ça va leur passer le pense, ils disent ça parce qu'ils ne connaissent pas et que ça leur fait peur, mais ils changeront avec le temps.

Ellie espérait vraiment dire vrai, c'était vraiment triste de ne pas s'entendre avec ses parents, Ellie en subissant les conséquences d'ailleurs.

Tout à coup, elle eut une idée! Et si elle faisait visiter un peu le château à la première année, ça lui plairait peut être et la blairelle avait déjà un endroit précis en tête.

Ça te dit si je te fait visiter le château ?

* Juste à la fin des cours, certains des élèves vaguaient à d’autres occupation pour décompresser de leur journée de cours. Les plus âgés pouvaient se permettre d’aller à Prés-au-lard. Mais les élèves tel que Thumarog étaient obligés de rester dans l’enceinte de l’école. Pour les parents Armegrime, il n’était pas nécessaire d’accéder à ce privilège pour l’instant. Les études avant tout. De ses camardes, certains allaient regarder les joueurs de quiditch s’entrainer, d’autres se balader dans le parc quand d’autres encore révisaient déjà leurs cours où réalisaient leur devoirs. L’année venaient de commencer depuis peu et déjà, les professeur leurs donnaient pas mal de travaux. C’est pourquoi, Thumarog décida, comme la grande majorité des Serdaigles, de réviser ses cours.

Pour se faire, il se dirigea à l’orée de la forêt interdite, au-delà de la cabane du garde-chasse. Là, peu d’élève se rendaient. Il fallait un bon moment pour y arriver, mais cela en valait la peine. Seul, à l’abri des regards, le petit rouquin sortit sa baguette en amandier et la déposa face à lui. À genoux, installé comme pour une prière, Thumarog resta immobile un certain temps. Le souffle du vent dans les arbres vint s’engouffrer dans sa poitrine, lui procurant un apaisement du corps et de l’esprit. On aurait dit qu’il se concentrait pour faire quelque chose mais,… rien. Ses genoux se fléchirent et le jeune Serdaigle se dirigea comme à son habitude, devant le tronc scié. Habitude qu’il n’avait pris que depuis trois jours à peine, mais le jeune sorcier voulait s’y tenir cout que cout. Son avenir était plus ou moins clairement tracé pour lui. Il avait plusieurs options possible en tête mais ce serait aux cours de ses années d’études qu’il se déciderait. En tout cas, une chose était sûr, il faudrait travailler dur et il fallait le faire au plus vite.

L’un de ses rituels était de sortir ses livres à l’aide du sort Windagardium Leviosa et de les déposer sur le tronc. Non pas n’importe comment, mais le plus précisément possible, de la manière la plus harmonique visuellement et avec le plus de fluidité possible. Les bouquins vacillaient encore sous les gestes encore incertains de l’élève. Thumarog voulait pratiquer le plus possible ses sorts. Il sentait avoir une certaine faiblesse durant les cours qu’il voulait rectifier au plus vite. La semaine dernière il était sorti au claire de lune pour appliquer concrètement ses cours d’astronomie et les livres annexes qu’il avait déjà lût sur le côté. Bien qu’il n’appréciait pas cette matière plus qu’autre chose, le jeune Armegrime estimait que tout savoir était source de pouvoir, et retrouver son chemin dans la nuit noir et obscure pouvait s’avérer par payer un jour. Aujourd’hui, il était question de déterminer les limites de sa magie. C’est pourquoi il s’essaya avec un gros bout de bois pour continuer son entraînement, ensuite un rocher, puis un autre un peu plus grand… Sans s’en rendre compte, l’oisillon avait commencé à pénétrer dans la forêt interdite.

Alors qu’il s’apprêtait à essayer un sort de deuxième année, un bruit attira son attention. Les pans de sa capes volèrent dans un mouvement brusque, laissant apparaître une baguette de 31 et des cheveux roux cuivré qui semblaient prendre feux dans les rayons, désormais bas, du soleil qui traversait un feuillage encore persistant en ce mois d’octobre. Sa baguette était levée, ses lèvres prêt à lancer n’importe quel sort de défense. *

La timidité de Hope était vraiment difficile à gérer et elle avait également une certaine difficulté à avoir confiance en elle. Ce défaut était d'autant plus important depuis que ses parents la prenaient pour un monstre. Elle était contente d'être différente, à part mais, la difficulté venait de ses géniteurs.

La deuxième année en face d'elle essayait alors de la rassurer lui disant qu'ils finiraient par changer d'avis. Elle l’espérait en tout cas. Elle n'en dit pas plus à ce sujet car cette situation la blessait plus que tout.

Elle sourit quand cette dernière lui proposa une visite guidée. Elle en avait bien besoin surtout qu'elle avait du mal à se repérer dans cet immense chateau.

Ce sera avec plaisir, je me perdrais peut être moins comme ça. accepta t-elle ravie de se faire une nouvelle connaissance.

Ellie sourit face à la réflexion de la première année, elle se souvenait très bien de la fois où elle s'était perdue dans les couloirs, et son amie l'avait aidé à s'y retrouvé.

C'est vrai qu'on se perd vite ici.

Elle réfléchissait, elle ne savait pas par où commencer. Enfin si, ais est-ce que la blairelle aimait les créatures ? Ça ferait vraiment plaisir à Ellie si celle-ci les aimait aussi. Elle pensait que oui d'ailleurs car rare était les personnes qui ne les aimait pas, surtout à Poufsouffle!

Si tu aimes les créatures je peux t'emmener voir mes chouettes ? lui demanda t-elle en souriant, et ses yeux brillaient.

C'est comme ça qu'était Ellie, à chaque fois qu'elle pensait à ses deux bébés, ça la rendait heureuse, rien ne pourrait la rendre plus heureuse.
Elle était bien ici, loin de tous ses problèmes de famille et autres.

« Range ta baguette ! Tu pourrais te blesser ! », ces mots avait blésé le petit rouquin dans son orgueil. Pour qui se prenait-il celui-là ? De toute évidence, le serpentard en face de lui avait quelques années en plus que lui. Thumarog se sentait écrasé par la supériorité de cet élève qu’il n’avait encore jamais croisé depuis son arrivée. La remarque lui fît apparaitre une petite moue vexée. Le jeune aiglon se reprit et laissa sa baguette levée. La plus part des élèves qu’il avait rencontré jusqu’alors voulaient lui prendre son déjeuner, le chambrer ou lui chercher misères. Bien que prêt à en découdre, le jeune Armegrime n'avait encore gagné aucune de ses confrontations.

- Ne t’inquiète pas pour moi, j’ai pris toute mes précautions, répondit l’aiglon. Mais fait reculer ton chaporouge ou… ou… - la panique lui fît perdre tous ses moyens – ou je le transforme en pot de chambre.

Au moment où il prononça ces mots, il les regretta directement. Les cours de métamorphose sur la transformation d'être vivant en objet lui serait bien utile, mais le coup du « pot de chambre » le discrédita instantanément, son éloquence d’enfance l’ayant emporté sur la maturité qu’il voulait se donner.

Essayant de reprendre le contrôle de son corps encore tout tremblant, Thumarog rajouta d’un ton moyennement assuré : « Comment tu t’appelles déjà ? »

L’ordre lancé par Semyon glaça le sang de Thumarog. Ce dernier avait pointé sa baguette sur le chaporouge dès que son regard s’était posé sur lui. Désormais, la créature à quelque centimètre de sa jambe, l’aiglon voyait un petit chapeau rouge avec deux oreilles pointues de part et d’autre. Le serpentard expliqua que sa créature ne lui ferait pas de mal ; et effectivement.

Seymon lui expliqua également que la petite créature était hématophobe. Cette particularité surprit Thumarog et lui fit baisser sa baguette. Les sautillements du chaporouge laissa s’échapper un petit rictus chez le rouquin.

Après s’être présenté, l’élève de septième année releva le coup du « pot de chambre ». Pris d’embarrât, Thumarog baissa la tête, ris et passa sa main dans ses cheveux roux.

- Oui c’est vrai que j’aurais pus trouver mieux ah ah…

La réflexion sur le cloporte qui s'en suivit lui fît perdre son rire et lui rendit un regard sérieux, franc et direct. À présent, il ne tremblait plus.

- La métamorphose et tout autres matières en général. Mon père dit toujours que le savoir est source de pouvoir. C’est grâce à lui que nous pouvons utiliser la magie. Bien des moldus ou des cracmols aimeraient avoir ce dont que nous possédons.

Thumarog se souvint alors avec nostalgie d’un ami moldu avec qui il s’était bien entendu quand il n’avait que 6 ans. Celui-ci étant devenu son meilleur ami, il lui partagea son secret de sorcier. Bien vit, les deux amis furent séparé par leur parents et ils ne s’adressaient plus la parole. La méconnaissance, le manque de savoir quant à la nature profonde de l’autre, cela affecta grandement le jeune Armegrime. Mais que ce soit avec les moldus ou les sorciers, l’aiglon ne trouvait pas sa place. Préférant accumuler de la connaissance au travers de livres et de cours.

Ayant peur que sa mine nostalgique ne se remarque, il relança à son interlocuteur :

- J’étais en train de m’entrainer et de jauger ma puissance magique. Tu saurais soulever ce gros rocher pour avoir une idée de mon étendue magique d’ici 6 ans ?

Le rouquin lui désigna alors un rocher plus gros qu’eux deux réunis.

Hope aquiéça doucement la tête. En effet, il y avait tellement de couloirs qu'il était facile de s'y perdre. Elle espérait bien que dans quelques mois, le château n'aurait plus aucuns secrets pour elle.

Finalement la seconde année reprit la parole afin de lui proposer de lui faire visiter quelques endroits. La blairelle n'avait pas pu refuser cette proposition. Au moins, elle pourrait dire qu'elle connaissait les nombreux dédalles de cet endroit.

Oh oui j'adore les animaux. Mes parents sont tous les deux de grands vétérinaires dans le monde moldu. Quand j'étais plus jeune, je venais voir les animaux dont ils s'occupaient dans leur cabinet. dit elle alors.

Je serais donc ravie de voir tes chouettes, conclut alors la première année.

Ellie sourit, les parents de la première année étaient vétérinaire, comme sa propre mère! Pas étonnant que la blairelle aime aussi les animaux, et justement, elle accepta d'aller leur rendre une petite visite.

Oh! Ma mère aussi est vétérinaire! C'est elle qui m'a transmis sa passion pour les animaux.

Tu es libre quand ?

La deuxième année avait hâte de lui faire découvrir ce fabuleux endroit qu'est la valise, et elle serait servie en câlin avec Bermude. Mais quand elle pensa à Kyra, la blairelle se devait bien de prévenir Hope qu'elle avait un très mauvais caractère! En effet, elle aurait le droit à un coup de bec à coup sûr, comme tout le monde l'ayant croisé d'ailleurs.

Il faut que je te dise, qu'une de mes chouettes adorent les câlins, alors t'y aura le droit, mais l'autre a très sale caractère, alors tu risque probablement d'avoir le droit à coup de bec sur la tête, heureusement que c'est encore un bébé.

Je préférais te prévenir.

L'éleveuse espérait que cela ne fasse pas changer d'avis la blairelle, mais elle pensait que non, si elle allait voir les animaux au cabinet de ses parents elle a bien dû rencontrer des animaux avec de mauvais caractère.

Oh, ça nous fait un point commun, commenta alors la jeune métisse au sujet du métier de la maman de son interlocutrice. Je suis libre quand tu veux, répondit elle alors ayant hâte d'aller à la rencontre d'animaux.

Ellie lui parla alors de ces deux volatiles d'écrivant leur caractère tour à tour. Ne t'en fais pas, avec le cabinet de mes parents je me suis pris pas mal de coup de pattes, de griffes voire même des morsures donc, je ne suis pas à ça près. expliqua alors la jeune fille prête à partie découvrir ces petites bêtes.

Même si ça se passait mal en ce moment avec ses parents, il lui avait tout de même transmis une passion. D'ailleurs, depuis qu'elle savait qu'il existait des cours de soins aux créatures magiques, la demoiselle avait déjà hâte d'avoir le niveau requis.

Pas de soucis, je comprends, dit elle alors prête à suivre l'éleveuse dès que celle ci le voudrais bien.

Ellie s'était bien doutée que la blairelle avait reçu des coups de pattes, des morsures et tout ce qui va avec de pas très plaisant, alors ça ne la fit pas changer d'avis, et l'éleveuse était contente!

Oui, un point commun.

Je me doutais bien que tu avais déjà eu à faire à des animaux de mauvais caractère, dans un cabinet de vétérinaire, les animaux sont souvent stresser et cherche à se défendre.

Apparemment la première année était libre n'importe quand, pourquoi y aller maintenant ? Elle avait vraiment hâte de partager sa passion avec une autre personne, elle adorait ça. C'était peut-être bien pour ça qu'elle voulait devenir magizoologiste peut-être ? Dans ce métier, on ne rencontrait que des sorciers aimant leurs créatures et travailler avec d'autres personnes partageant cette magnifique passion, que du bonheur!

Alors on peut y aller! Viens c'est par ici

* Gamin ! À ce mot, le petit rouquin réalisa qu’il ne s’était pas présenté. *

- Je ne suis pas un gamin. Je m’appelle Thumarog Armegrime et j’en sais bien plus sur la magie que la plus part des autres élèves de mon année. Aujourd’hui, d’après mon professeur d’astronomie le soleil est particulièrement propice aux sortilège tel que celui-là. Je pense qu’une autre planète de notre système doit avoir un quelconque impacte également. Mais je ne l’ai pas encore trouvée dans les livres. D’après mes estimations, l’écart véritable entre nos deux sorts respectif est d’une soixantaine de centimètres. Ce qui équivaut à une dizaine de centimètre par année d’écart entre nous deux. Avec mon entrainement je devrais pouvoir réduire cet écart à 3 ans. Mais à mon avis que tu dois aussi bosser pas mal de ton côté donc je dirais quatre, cinq tout au plus.

* L’élève de première année essaya de convaincre l’aîné qui était en face de lui que ce n’était pas un simple gamin. Quand il voyait les autres s’amuser, prendre l’aire à ne rien faire, Thumarog savait que de son côté, les entrainements finiraient par payer et qu’il dépasserait la plus part d’entre eux. Non pas pour les écraser de sa supériorité intellectuel, mais juste parce qu’il en était ainsi. Plus on travail, plus on avance. Et de l’avance, le petit rouquin en avait déjà pris pas mal.

Il lui importait peu de savoir comment cet échange finirait. Néanmoins, il y avait quelque chose qui attirait Thumarog chez ce serpentard. Pour lui, il avait une certaine prestance, un charisme et une puissance pratiquement indétectable mais pourtant bien présente chez Seymon. En tout cas, il dvait connaître des sorts bien plus puissant que lui, c’est certains. Une chose était sûr, le comparatif des deux sortilèges lui permettait d’avancer dans ses recherches.
*