supprimé.

* Nox se promenait dans le parc où il y avait déjà des élèves. Si tôt ? Mais ils ne dormaient donc jamais ! Elle décida de pousser jusqu'à la forêt interdite et elle se faufila entre les arbres. Ici au moins, il y avait des chances qu'elle soit tranquille et vraiment seule avec ses pensées, étant donnée l'heure matinale et le lieu, évité en principe par la majorité des 1ère année et beaucoup d'autres.

Elle tomba sur un arbre à baguettes et resta un bon moment à observer les botrucs qui s'affairaient sur l'arbre. Il était magnifique d'ailleurs cet arbre, de belles branches larges se tendaient vers la lumière qui venait d'en haut.

La noire et jaune sans réfléchir tenta de sauter sur la première branche basse en y plantant ses ongles. Bien heureusement , elle la rata et s'affala les quatre fers en l'air dans la mousse humide.

Non mais ça devenait grave quand même ! Sa formation d'animagus n'avait sans doute pas pu avoir lieu mais l'animal avait l'air de faire l'impossible pour s'exprimer en dehors d'elle. Il ne manquerait plus qu'elle se mette à grimper aux arbres, à ronronner, ou à rugir, ce serait complet ! La serpentard dont auraient rêvé ses parents, transformée en une poufsouffle rugissante, la totale !

En attendant elle avait affolé les pauvres botrucs qui s'étaient amassés sur l'arbre, toutes pattes dehors, au cas où il faudrait combattre un prédateur.

Elle s'éloigna de l'arbre pour les rassurer et pour sa propre sécurité, il ne manquait plus qu'elle se fasse crever un oeil. Elle regagna li lisière des arbres, puis le parc, avant de se faire agresser par une créature plus dangereuse. *

RP avec Thomas Aldretta

* La nuit était hyper agitée pour moi, en effet après cette longue journée de cours, je m'étais endormie plutôt que les autres élèves du Poudlard12.

Mais finalement, je me tortillais dans mon lit à baldaquin depuis plusieurs heures, sans trouver le sommeille, je pensais à pleins de chose en même temps.

Mes parents, mon frère, malgré que je ne sois pas très proche de lui, mais il restait mon frère après tous.

Suivit de ma future vengeance que cette personne qui avait tuée une personne importante à mes yeux, je me redresse sur mon lit, serrant les poings de toutes mes forces. *

[ Tu le regretteras un jour, soit sûr, je te ferais payer ! ]

* Finalement, je sortis de mon lit, me vêtue d'une combinaison pantalon femme noir à manche longue avec un dessin de serpent, des baskets bases.

Je quitte mon dortoir doucement en prenant soin d'emmener mon boursouf qui se cache dans l'intérieur de ma combinaison.

Je me dirige à l'extérieur des cachots de Serpentard, regard dans tous les côtés si je ne croise personnes, continue m’a descente en direction du parc.

Une fois à l'extérieur du château, je marche encore un petit moment, puis j'arrive à l'orée de la forêt interdite.

J'entre à l'intérieur de la forêt, fait un tour des environs, je m'arrête dans un endroit et je fais la cueille de plantes magiques.

Décide d'élaborer des potions médicinales comme m’a montré ma mère qui est une guérisseuse et ne fessant pas attention à ce qui m'entoures. *

Avec Malika Jabami

* Thomas était encore sorti de son dortoir afin de partir en vadrouille à la nuit tombée. C'était son moment préféré de la journée. En général, tout le monde était déjà rentré dans son dortoir et il pouvait être tranquille. Même si dernièrement, il y avait toujours eu quelqu'un pour l'interrompre durant ses promenades nocturnes... A croire que les élèves devenaient de moins en moins respectueux du couvre-feu!
Il se dirigea vers la forêt interdite. Il avait pensé à aller du côté de la cabane hurlante, mais c'était déjà là-bas qu'il était allé la dernière fois, il avait besoin de changer.
Il traversa tranquillement le parc, les bras croisés derrière sa tête et pénétra dans l'ombre de la forêt interdite.
Il lui était souvent arrivé de se demander si la forêt était aussi dangereuse que ce que les adultes voulaient leur faire croire. De toutes ses petites escapades, la seule et unique fois où il avait vécu quelque chose était d'entendre des bruissements et de voir une paire d'yeux jaunes le regarder. Par prudence, il s'était enfuit, mais il ne savait toujours pas ce qu'il avait croisé ce jour-là.

Le jeune aiglon était entré dans la forêt depuis à peine 5 minutes qu'il entendit un bruit sur sa droite. Il se retourna et aperçut une jeune fille cueillir des plantes. Il se retint de soupirer bruyamment. *

[ Mais c'est pas possible, pourquoi faut-il que je tombe ENCORE sur quelqu'un?? ]

* La jeune fille qu'il n'avait encore jamais croisé ne semblait pas l'avoir remarqué. Aussi recula-t-il lentement et le plus silencieusement possible pour s'éloigner. Du moins, jusqu'à ce qu'il fasse craquer une énorme branche. Ce craquement sembla résonner jusque dans le plus profond de la nuit. *

[ Et flute...! ]

* Ne faisant pas attention à ce qui m'entoure, je continuais ma cueillette de plantes magiques, puis j'entend un bruit de branche cassé.

Je me mets à sursautée, fronce les sourcilles qui peut bien faire du bruit à une heure pareille, moi qui aurais préféré être seule, c'est loupée.

Je regarde autour de moi, pour savoir d'où vient le bruit, je découvre que le bruit est un jeune garçon qui a trois têtes de plus de moi, il est plutôt beau garçon, cheveux en bataille, un regard percent et séduisant.

Il est assez mignon, mon genre de mec, mais je ne le montre pas, je le regard un court instant, me baisse pour ranger ma cueillette dans ma sacoche.

Puis, je me relève, pose mon attention en direction du jeune garçon, je ferme ma sacoche, regard avec autorité, continue de l'analysée. *

[ Plutôt mignon, beau garçon, très séduisant, il m'a l'air plutôt arrogant, j'aime bien ce genre de mec, en plus il
Y a un regard perçant, j'aime beaucoup. ]

* Je fais un regard hautaine, arrogante, prétentieuse.
Mon analyse terminée, je mets mes deux mains sur ma taille,
Un coup de vent balance mes cheveux bruns, telle une déesse.

Je souris malicieusement, je fronce les sourcilles pour montrer de quelle maison je suis, je finis par prendre la parole d'une voix charismatique, glaçante, arrogante, cassante et froide. *

Malika Jabami : Dit-donc beau ténébreux, tu aimes faire peur aux créatures de la forêt ? Et ça t'amuse de faire peur au gens ?

* Evidemment, la jeune fille entendit le bruit de branche que Thomas avait provoqué et se retourna. Au vu de sa taille, elle devait être en première année, deuxième au maximum. La fille le regarda intensément, comme si elle voulait le jauger. Elle mit ses mains sur sa taille, prenant une posture comme si la forêt lui appartenait. Son regard était hautain... Elle devait probablement avoir beaucoup de caractère! *

- Dit-donc beau ténébreux, tu aimes faire peur aux créatures de la forêt ? Et ça t'amuse de faire peur au gens ?

* Le jeune blond tiqua. Il haussa un sourcil. La voix de la jeune inconnue était froide et distante. Elle avait l'air aussi sympathique et sociale que lui... *

[ Beau ténébreux? Et puis quoi encore... Elle est à l'ouest celle-là. ]

* Il aurait aimé qu'elle soit en uniforme pour savoir de quelle maison elle venait. Il était sûr qu'elle n'était pas une Serdaigle, et vu son caractère, il ne restait que la possibilité d'une Gryffondor ou d'une Serpentard. *

[ Avec ma chance, je suis tombé sur une vipère, encore... ]

* Conscient que cela commençait à faire un peu trop longtemps qu'il se murait dans le silence, il finit par répondre. Il ne fallait pas qu'elle pense qu'il était intimidé, ou quoi que ce soit du genre! *

- C'est drôle, vu ta réaction, je n'ai pas vraiment l'impression de t'avoir fait peur pourtant.

* Il avait parlé d'une voix un peu monotone, mais avec une pointe d'ironie sur la fin, en la regardant à peine. Si il se montrait suffisamment distant, peut-être qu'elle partirait rapidement. *

* Le blondinet haussa un sourcilles, j'aime bien ce petit arrogant, pour un beau ténébreux tel que lui, mais qu'importe.

Le jeune garçon se perdu dans ses pensées un court instant, je ne voulais en aucun montré de quelle maison j'étais, pour faire deviner de quelle noble maison je suis.

Puis, je regardai plus détailler le jeune garçon, surtout au niveau de sa coupe de cheveux, il devait sûrement être un blond, c'est mignon les blonds, de sa carrure, il ressemblait beaucoup à mon meilleur ami, qui se trouvait à Serdaigle.

Il est blond comme ce beau garçon, avec un même caractère tel que lui, en ne parlant pas de sa maladie, il finit part dire une parole après ce long silence.

En effet, il trouvait cela drôle ma réaction, il poursuit en disant qui n'avait pas l'impression de m'avoir fait peur pourtant avec une voix peu monotone, une pointe d'ironie sur la fin.

J'aime beaucoup, sa voix monotone avec sa pointe d'ironie sur la fin, c'est la deuxième fois que je crois un garçon de la sorte, après mon meilleur ami Aloïs, qui à ce même caractère.

Je fais un nouveau sourire malicieuse et arrogante, si ce blondinet pensait que j'allais partie rapidement, il se plantait complètement, je continue à lui montrer que la forêt est à moi.

Je balance mes cheveux en arrière, telle une rebelle, le vent souffle dans ma belle chevelure brun, je m'approchai doucement en balançant mes hanches telle une féline attaquante sa proie.

Garde un espace entre lui et moi pour voir le jeune garçon de plus près, remet mes mains sur ma taille, n'analyse encore une fois.

Il avait un regard perçant, dans ses yeux, je pouvais voir de la rage, de la colère, de la douleur, de la tristesse.

Je reprends la parole de ma voix arrogante, glaçante, froide et cassante. *

Malika: Quel regard perçant avec une telle rage et une telle colère que je vois dans tes yeux, de la souffrance dans ta vie peut-être.

* Le vent souffle une nouvelle fois sur mes longs cheveux bruns, comme une déesse de la nuit et du temps.

Je fais un nouveau sourire de malice dans le fonds, ce garçon n'avait pas l'air si méchant, je voulais essayer de deviner de quelle maison il pouvait être. Serpentard ? Impossible, je connais tous les élèves de ma maison, même les professeurs.

Peut-être un Gryffondor, vu son caractère assez rebelle, un Poufsouffle ? Certainement, il n'avait pas du tout la carrure d'en être un ou alors sûrement un Serdaigle ? Je ne voyais que cette option.

Je le regard intensément le jeune garçon, un regard perçant et reprend la parole de ma voix charismatique, glaçante, froide, arrogante, perçante, hautaine et malicieuse en répondent à son intervention qui avait cité. *

Malika: Oui, en effet, je n'ai pas eu peur, au contraire, j'aime beaucoup ton ironie de fin, ça me plaît beaucoup.

* J'en roule une de mèches blonde autour de mon majeur, mon regard est d'un bleu envoûtant qu'ont si perd et je reprends de ma même voix. *

Malika: Quel est ton prénom beau ténébreux ? Et que fais-tu dans cette forêt dis "interdit"? Aurais-tu du mal à dormir comme les enfants ?

* Je fais un sourire plein de malice, de prétention, d'arrogance met de l'ironie à la fin de chacune de mes phrases. *

* Thomas croisa les bras en posture fermée directement après avoir lancé sa réplique. La jeune fille ne semblait pas s'en formaliser et semblait sonder son âme de ses yeux bleus inquisiteurs, tout en balançant ses cheveux, dans une posture qui semblait faire comprendre que la forêt lui appartenait. Thomas devait avouer qu'elle possédait une fameuse prestance. Elle était charismatique, il n'y avait aucun doute là-dessus. *

- Quel regard perçant avec une telle rage et une telle colère que je vois dans tes yeux, de la souffrance dans ta vie peut-être.

* Etait-ce le secret de ses fameux yeux bleus ou possédait-elle le don de double vue? Ou peut-être qu'elle était la personne qui l'avait le plus observé jusqu'ici. Peut-être ne cachait-il pas ses émotions aussi bien qu'il le pensait... Tentant de ne pas se laisser intimider, il détourna le regard et shoota dans un petit caillou, les mains dans les poches. *

- Cela ne te regarde d'aucune façon.

* Il avait prononcé ces mots d'un ton sec, qui se voulait signifier la fin de la conversation. En fait, il était inutile de rester ici plus longtemps. Il amorça un mouvement afin de faire demi-tour lorsque la voix remplie d'arrogance de la jeune fille résonna à nouveau dans la forêt silencieuse. *

- Quel est ton prénom beau ténébreux ? Et que fais-tu dans cette forêt dis "interdit"? Aurais-tu du mal à dormir comme les enfants ?

* A nouveau, le bleu et bronze tiqua. Comment osait-elle lui parler ainsi? Envahi d'un sentiment de colère, il s'avança vers elle à grandes enjambées et vint se planter devant elle,à quelques centimètres à peine, la surplombant de toute sa hauteur. *

- Pour qui tu te prends exactement? J'ai l'air d'être un enfant qui a du mal à s'endormir? Peut-être voudrais-tu me border, aussi?

* Il resta là à la dévisager, en attendant une réponse de sa part. Il n'avait absolument aucune idée de si sa réaction allait la calmer, où si elle s'en ficherait éperdument, ce qui ne l'étonnerait même pas, du peu qu'il en avait déjà vu. *

* Le jeune garçon croisa ses bras dans une posture fermée après avoir lancé sa réplique, ce qui m'amusa, un tel garçon, c'est rare d'en croiser ici, ils sont si peu nombreux pensais-je.

Puis, à ma réplique le jeune garçon me répondu que cela ne me regarde d'aucune façon, c'est vrai que cela ne me regarde d'aucune façon, mais je pouvais bien ressentir sa souffrance et il avait du mal, vraiment du mal a le caché.

Je reprends la parole de ma même voix avec cette même arrogance, cette froideur, ce charisme et cette malice dans mon ton. *

Malika : En effet, cela ne me regarde pas, mais je le vois dans ton regard, tu dois avoir vécu des choses terribles dans ta vie et je n'ai aucunement besoin de le savoir vue que je peux le ressentir.

* Je trouve ce garçon très intéressant, plaisant, le genre de garçon qui correspond parfaitement bien mon style de mec, si ça trouve nous sommes peut-être pareil lui et moi, où sommes-nous faits pour être ensemble, mais d'un vécu différent.

La manière dont je lui parlais avais l'air de le mettre en colère, en faite j'attendais que ça, pour que nous sachions sa réaction.

D'ailleurs sa réaction ne se fut pas attendu, il se mit en colère, ce qui m'amusais, j'aime mettre les gens en colère, c'est un de mes passe-temps préférer, après tous je suis une Serpentard.

Je serais une fausse vipère telle que moi et de Serpentard si je ne fessais pas honneur à ma maison en parlent de la sorte. *

[ C'est bien mon petit chou, énerve-toi encore, que je rigole encore un bon coup intérieurement, j'adore ça. ]

* Le blondinet reprend la parole en me demandent pour qui je me prenais exactement, je me mets à rire intérieurement.
Je continue à montrer que la forêt m'appartenais, un air sûr, imposent, autoritaire, mes cheveux son de nouveau soulever par le vent, telle une déesse des îles.

Je reprends la parole d'une voix charismatique, amuser, glaçante, froide, cassante et arrogante. *

Malika : Je me prends pour moi, cela te dérange ? Beau ténébreux ?

* Puis, il reprend la parole en m'interrogeant d'une faite qu'il a l'air d'être un enfant qui a du mal à s'endormie.

Cette fois-ci, je ne parviens pas à retenir mon amusement, je rie ironiquement et sadiquement, reprend mon ton depuis le début de notre conversation. *

[ Aller continue à t'enflammer, c'est si amusent, j'aime beaucoup, quel caractère et quel charisme. ]

Malika : Non, tu as plutôt d'un garçon qui veux que veut plutôt démonter quelqu'un ou qui veux tracer sa route, mais j'aime beaucoup ta façon de t'énerver et ta colère, je trouve ça très plaisant, ça me plaît.

* Il poursuit en disant que peut-être je voudrais le border, moi le border le cajoler ? Comme les enfants, sa peut-être une idée, mais c'est pas objectif premier.

Je rie intérieurement, très amusé par sa réplique, il est beau garçon, très comique, j'aime bien sa manière de s'exprimée qui aurais pensée que je croiserais une telle personne un peu pareille, comme moi.

Du fait qui était en colère qui amorça alors un mouvement pour faire demi-tour, ainsi qu'une grande enjambée et ce plant devant moi à quelque centimètre à peine.

Je lui fais un sourire charismatique, arrogante, sadique, malicieuse, amuser, toujours les mains sur ma taille, imposante, séductrice, le regarde de mes yeux bleus et envoûtants.

Mes yeux sont si bleus que je réussis à envoûter n'importe quelle personne juste part mon charisme, garçon comme fille, le vent souffle de nouveau sur mes longs cheveux brun, telle une femme fatale et reprend la parole de ma voix glaçante, froide, cassante, arrogante, séductrice et malicieuse. *

Malika : Tu espères faire quoi en te plantent ainsi devant moi ? Que j'ai peur et pars en courant. * Je fais un sourire amusé, pleine de malice, arrogante et hautaine, puis reprend. * Tu t'es trompé de personne beau ténébreux, je n'ai aucunement peur de toi, je ne suis pas une Poufsouffle effleurée et apeuré, au contraire…

* Je m'approche doucement en direction du jeune garçon, enroule une mèche de ses cheveux autour de mon majeur, approche mes lèvres de son oreille et chuchote. *

Malika : J'adore te voir t'énerver, je trouve cela très craquant, ça me plaît beaucoup.

* Je me retire délicatement, continue d'enrouler une de ses mèches de cheveux autour de mon majeur et reprend de même voix. *

Malika : Tu m'amuses beaucoup, tu dois être soit de la maison des Serdaigle où soit de la maison des Gryffondor avec un tel caractère, mais je dirais plutôt de la maison des Serdaigle si je ne me trompe pas. Ai-je raison ? Beau ténébreux ?

* Fichtre que cette personne était agaçante...
D'après ses mots, elle voyait dans son regard et ressentait même la souffrance du jeune garçon. Cela le fit bouillir d'autant plus. Son histoire ne regardait que lui.
Elle enchaîna ensuite sur le fait qu'elle aimait le voir s'énerver, ce qui surprit énormément le bleu et bronze. Aimer voir quelqu'un s'énerver, contre soi qui plus est, voilà qui n'était pas banal, c'était le moins que l'on puisse dire... *

[ Elle est masochiste ou quoi? Elle est complètement marteau, celle-là... ]

* Mais la jeune fille ne s'arrêta bien sûr pas là, cela aurait été trop beau. Nullement impressionnée par son petit numéro, elle s'approcha même encore plus près, enroulant une mèche de ses cheveux en bataille dans ses doigts, tout en lui chuchotant à l'oreille: *

- J'adore te voir t'énerver, je trouve cela très craquant, ça me plaît beaucoup.

* Thomas se raidit à ces mots. Maintenant c'était clair, elle était réellement complètement timbrée, il ne voyait que ça... Il se félicita d'être venu la nuit et qu'ils soient justement placés sous un arbre, de façon à éviter d'être éclairé par le reflet brillant de la lune. Ainsi la jeune fille ne le verrait probablement pas rougir. Il ne rougissait pas très souvent, c'était un fait, mais cette fille-là, elle était tellement particulière, il n'aurait jamais su se retenir... Que cherchait-elle à la fin?
Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et enchaîna, toujours de son ton froid et hautain qui ne changeait pas: *

- Tu m'amuses beaucoup, tu dois être soit de la maison des Serdaigle où soit de la maison des Gryffondor avec un tel caractère, mais je dirais plutôt de la maison des Serdaigle si je ne me trompe pas. Ai-je raison ? Beau ténébreux ?

* Thomas était à deux doigts de lui répondre sèchement tout en repoussant sa main d'un geste violent, mais il résista. Il ne devait pas lui faire comprendre qu'elle le perturbait et le gênait. Sinon, il était sûr qu'elle deviendrait encore pire.
Au lieu de cela, il resta en place, les yeux rivés dans les siens, l'air imperturbable et lui répondit d'un ton neutre. *

- Arrête de m'appeler comme ça. Je m'appelle Thomas, contente-toi de ça. Et je suis un Serdaigle, mais je ne vois pas en quoi ça t'intéresse. Et toi, laisse-moi deviner, pour agir de la sorte, tu ne peux être qu'une vipère, je me trompe?

* Il resta à l'observer dans les yeux. Ses yeux étaient d'un bleu intense comme il en avait rarement vu. Comme il n'en avait même jamais vu d'ailleurs. Ils étaient hypnotisants, électrifiants. Comme il l'avait pensé plus tôt, il était presque sûr que ces yeux-là possédaient le don de double vue, c'était presqu'impossible autrement.
Il espérait que son ton neutre et son absence de réaction lasserait la jeune fille qui s'en irait. Et d'un autre côté, il devait avouer que cet échange était un des plus intéressants qu'il avait eu jusqu'ici. Cela aurait été presque triste de s'arrêter là. *

[ Peut-être que moi aussi je suis un peu masochiste... ]

Thomas & Malika La forêt était habituellement calme ces derniers temps. Peu ou prou de visiteurs, et la plupart s'aventuraient désormais en journée, à l'entrée des bois. Il fallait dire que l'action qu'avait mené le peuple hybride au Ministère avait poussé les sorciers à se tenir à l'écart. Mais aujourd'hui, deux étranges individus venaient cueillir leurs champignons sur un terrain qui ne leur appartenait pas. Et qui ne leur appartiendrait jamais. De nul part, un caillou vînt percuter l'arrière du crâne de la jeune sorcière. Seul un bruissement de feuille avait accompagné l'attaque. Puis de nouveau le silence. Il y eut alors un autre bruissement, dans une nouvelle direction, et en quelques secondes, une cavalcade se fit entendre. Une immense créature -car ainsi se désignaient-ils- se trouvait désormais sur une petite butée de terre surplombant les deux pauvres humains qui se trouvaient là. Son regard noir aurait eu de quoi intimider une bonne partie des employés du Ministère, et il ne semblait rien vouloir faire pour radoucir ses traits ou paraître amical. - Que faites-vous ici, enfants de Merlin ? Votre présence est interdite dans ses bois, nous n'acceptons que ceux dont les intentions sont aussi pures qu'un cristal de roche céleste. Instinctivement, le regard du traqueur se porta vers le ciel. De mémoire d'homme, les Centaures avaient toujours été d'incroyable astronomes et astrologues, alors il n'était pas étonnant de les entendre placer du "céleste" à toutes les sauces. - Je vous ordonne de quitter le territoire de mon clan. Estimez-vous heureux que certains d'entre nous refusent que nous nous approchions plus encore de votre école. Un bruissement d'ailes ponctua la fin de la phrase de la créature mi-humaine mi-cheval. L'oiseau qui avait observé la scène depuis le début venait de prendre la fuite, sentant la tension dans les airs. À présent, il ne restait plus qu'Odos et ces deux marmots. Ces deux intrus, sur le territoire qu'il devait défendre.

* Les deux jeunes gens étaient toujours en train de se regarder droit dans les yeux, lorsqu'un caillou frappa la jeune vipère à l'arrière du crane.
Par réflexe, Thomas se recula, et regarda partout autour de lui sans rien voir. Un silence s'abattit sur la forêt avant qu'un bruissement ne retentisse, laissant apparaître un centaure.
Thomas regarda bouche-bée la créature qui venait d'apparaître sous leurs yeux. Il faut dire qu'il ne s'y attendait vraiment pas... Néanmoins, il ne fallait pas se réjouir de cette apparition! En effet, ce n'était pas un regard amical qu'affichait la créature mi-homme mi-cheval. Celui-ci prit la parole d'un ton froid.
Après avoir regardé le ciel, il leur ordonna de quitter le territoire.
Thomas ne réagit pas directement. Leur territoire? S'étaient-ils aventuré aussi loin dans la forêt interdite? Ou les centaures considéraient-ils l'ensemble de la forêt comme étant leurs terres?
De toute façon, toutes ces interrogations ne mèneraient nulle part.
Thomas s'inclina légèrement face au centaure et prit la parole d'un ton hésitant. *

- Veillez excuser notre présence. Nos intentions n'étaient pas néfastes.

* Il prit discrètement le poignet de la jeune fille à côté de lui et tenta de l'emmener à sa suite en reculant doucement.
Il ignorait ce que la vert et argent connaissait des centaures, mais il espérait qu'elle avait gardé son arrogance dans sa poche au moins pour cette fois et qu'elle accepterait de le suivre... *

Merci !

* Sur mes propos, le jeune garçon fut surpris du fait que j'aime voir les gens s'énerver et oui que voulez vous je suis une fille sadique et masochiste, très mature et mûre pour mon âge.

Pour certaines personnes de ma tranche d'âge, cela n'est pas naturel d'être ainsi, moi j'ai toujours été comme ça, je tiens sa de ma mère, elle est exactement comme moi.

Beaucoup de gens se demande comment mes parents ont pu se mettre ensemble malgré leurs deux caractères complètement opposer, tous comme moi et Johan, mon frère.

Le jeune garçon fut ensuite agacé que je l'appelle "le beau ténébreux, d'un côté s’il m'avait dit son prénom avant, je ne l'aurais pas continuée à l'appeler ainsi.

Mais je trouve ça amusent de l'appeler comme ça, en plus cela lui va bien, je dois avouer que ce garçon me fait de l'effet depuis le début de notre conversation, est-ce que je ressens quelque chose pour lui ?

C'est une très bonne question, pensais-je. Finalement le jeune garçon finit part ce présenté sous le nom de Thomas, j'avais plus besoins de le demander comme il a fini par me le dire. *

Malika : Thomas, prénom très classique, ce prénom est très courant, quand ta toi, tu te contenteras de m'appeler Malika, enchantée Thomas.

* Donc Thomas, poursuit en me confirment qu'il était de la maison de Serdaigle, j'en été sûr, j'ai toujours raison, il continue en me disant que qui ne vois pas en quoi cela m'intéresse, oui, c'est vrai cela ne m'intéressé, mais c'est toujours bon à savoir.

Ce jeune garçon avait en partie un peu le même caractère qu'Aloïs Faustus, mon meilleur ami, je reprends la parole de ma voix charismatique, froide, glaçante, cassante, arrogante et malicieuse. *

Malika : Effectivement cela m'intéresse très peu, mais j'ai un ami qui est aussi de ta maison, mais de la même année que moi, mais c'est un simple détaille inutile.

* Ensuite, il essaya de deviner de quelle maison je suis, il poursuit en me que je suis peut-être une vipère pour agir de la sorte.

Je souris malicieusement, il reconnaît bien les Serpentard digne de ce nom, mais d'ailleurs c'étais le cas, je m'approche un petit peu plus de lui doucement, plonge mon regard bleuté envoûtant dans ceux du jeune garçon.

Mais lèvres et les siennes sont très proche l'une de l'autre avec un petit centimètre d'écart, je reprends la parole de ma même voix. *

Malika : Effectivement, mon cher Thomas, je suis bien de la maison des Serpentard, si tu n'avais pas été à Serdaigle, tu aurais fait un très bon Serpentard.

* Puis, nous entendons un bruit qui vient du fin fond de la forêt, je reçois un caillou à l'arrière de mon crâne, je ne ressens pas la douleur.

Par reflex, Thomas se recule, il regarde autour de lui, je fais de même nous nous retrouvons face à une créature mi-homme et mi-cheval. *

[ Trop bien un centaure ! C'est pas souvent qu'on en croise. ]

* J'ai toujours eu de l'admiration pour ce genre de créature, mon père me racontait des histoires sur les centaures quand j'étais petite et j'adorais l'écouter me le raconter.

Mon père m'avait prévenu qu'il n'était pas très commode et qui fallait surtout évité de les mètrent en colère ou d'être incorrecte avec lui.

Il nous demandait de quitté les lieux moi et Thomas, car nous n'avions pas le droit, j'allais répondre quelque chose, mais Thomas me devança.

En faite, je n'avais aucune envie d'avoir des ennuis avec une telle créature, donc je laissai Thomas prendre la parole.

Il nous excusa moi et lui de notre présence, il poursuit en disant que nos intentions n'étaient pas néfaste.

Puis, il prit discrètement mon poignet, tenta de m'emmener à sa suite en reculent doucement, je me laissais naturellement faire, je pris sa main dans la mienne, la lui serra.

Puis, nous nous dirigeons tous les deux dans un autre endroit de la forêt loin du centaure, nous arrivons dans une clairière ou nous étions seuls au monde, à l'abri des regards indiscrets.

Sa main était plutôt agréable, sans le faire volontairement je caressais sa main, je pouvais vois qu'il avait une petite blessure mal refermée.

Je la regardais directement, l'examina, il avait la main une froide, sûrement à cause du froid de la nuit, puis je repris la parole d'une voix charismatique, froide, glaçante, hautaine, arrogante et attentif. *

Malika : Ta blessure est mal refermé, à ce rythme elle risque de s'infecter, permets-tu et m'autorises-tu à que je te la soigne et te la désinfecte ?

Les deux jeunes humains se confondaient en excuses. Pitoyables. Et typiquement humain. Depuis des années, les leurs piétinaient ce sol sacré, jouant avec sa faune et sa flore sans vergogne ni honneur. Respectant la volonté de son clan, le traqueur se contint et ne fit que leur adresser la parole, sur un ton loin d'être enjoué, bien au contraire : - Vos excuses ne sont rien de plus que des mots creux, échos des excuses de vos pairs d'avant, sur le même sol. Il ne sert à rien de chercher le pardon après que les faits aient été commis. Les vôtres ne comprendront jamais cela, que pour être artisan de son destin, il est nécessaire d'agir avant. Odos, sans quitter sa position surélevée, observa les enfants foulait le sentier de leurs pas pour quitter la zone. Un sentier... comment un endroit si sauvage pouvait, à présent, avoir un sentier à force que chaussures et bottes martèlent le sol ? Plus rien ne pourrait repousser sur cette terre battue avant des années. Serrant sa fronde de colère, la sage créature cabra avant de disparaître de les ombres protectrices de la nature. Mais que les collégiens de Poudlard ne se leurrent pas : ce n'est pas parce qu'ils ne le voient pas, que ces flèches ne sont pas braquées droit sur eux. Odos le traqueur protégera les terres de son clan quoi qu'il en coûte.

* Le jeune blond se sentait rassuré que la jeune fille qui l'accompagnait ne se remette pas à faire un cirque devant le centaure. En effet, elle se contenta heureusement de se laisser guider sans rien dire. Une sage décision.
Alors que les deux jeunes gens s'éloignaient, le centaure eut une dernière parole, toujours d'un ton très sec et colérique. Visiblement, les excuses n'avaient pas l'air de fonctionner avec eux... Il était très difficile de savoir comment interagir avec ces créatures.
Sur ce, le centaure se cabra et disparut. Mais Thomas n'était pas tellement rassuré pour autant. Les centaures se déplaçaient rarement seuls, et il était certain que toute la horde n'était vraiment pas très loin...
Aussi continua-t-il à s'éloigner le plus loin possible.
Une fois arrivé au milieu d'une clairière, Thomas se rendit compte que Malika, qui s'était présentée sur cet entrefaite lui tenait fermement la main et était même en train de la caresser du bout du doigt. Toujours sous le coup du stress provoqué par l'apparition du centaure, Thomas ne l'avait même senti. Mais à présent, il pouvait sentir que la main de Malika était chaude et douce. Il se mit à rougir légèrement à nouveau. *

- Ta blessure est mal refermé, à ce rythme elle risque de s'infecter, permets-tu et m'autorises-tu à que je te la soigne et te la désinfecte ?

* Etonné, Thomas regarda sa main. En effet, il avait une coupure qu'il s'était fait il ne savait où. Elle n'avait pas l'air très profonde, mais elle saignait un peu tout de même. Le jeune blond regarda la jeune fille d'un air septique. *

- Parce que tu connais des sorts de soins à ton âge?

* Puis il haussa les épaules. Après tout, qu'est-ce que ça pouvait faire. Au pire c'était faux et il irait à l'infirmerie, au mieux c'était vrai et elle pouvait l'aider. Il lui tendit donc la main en détournant le regard. D'un air bougon il annonça: *

- Après tout, si ça peut te faire plaisir...

* Avant que les deux élèves s'éloigne du centaure, il dit des dernières parole à moi et Thomas d'un ton sec, les centaures sont vraiment des créatures extraordinaires tout de même.

Une fois ses paroles dites, le centaure disparut au fond de la forêt auprès de son clan, de ce fait Thomas et moi partons à notre tour, nous arrivons dans une clairière.

Je remarquais que la main de Thomas avait une blessure qui saignait, à se demander comment il a fait pour se blesser, je le proposai donc de la soignée pour éviter qui s'infecte.

Il reprit la parole en me posent la question si je connaissais des sorts de soins, c'est plutôt les potions pour soigner que je connaissais, je n'avais encore le niveau pour connaitre et faire des sorts de soin, si ce n'est que ma mère qui est guérisseuse.

Je reprends la parole de ma voix charismatique, froide, glaçante, cassante, arrogante et hautaine. *

Malika : Pas exactement, je ne suis quand première année, je n'ai pas encore appris, par contre ma mère m’a appris à créer une potion pour soigner les blessures.

* Puis Thomas reprend la parole en disant qu’après tout si ça peut me faire plaisir. Je lui fais un sourire satisfait et un séducteur. Puis, je reprends la parole de ma même voix. *

Malika : Merci pour ta confiance.

* J'ouvre dans mon sac, sort tous les ingrédients pour élaborer la potion de soin, m'assoie au sol en tailleur, met les différents ingrédients dans mon petit chaudron, chauffe le chaudron avec le sors lumos.

Puis, une fois cela terminer, la potion passe à un état solide et forme une pâte de couleur oranger, je la mélange et plis dans mes mains.

Me relève, m'approche un peu plus de Thomas, lui met la pâte à l'endroit ou il est blessé, je caresse délicatement avec douceur, la pâte fait son effet au bout de cinq à dix minutes.

Je regarde Thomas dans mes yeux bleuté envoûtant, reprend la parole de ma même voix. *

Malika : Tu ne sens pas trop la douleur ?

* Puis, je fais une potion de soin en mélangeant tous les ingrédients, enfin terminée, je me relève une nouvelle fois, le tant la potion et reprend de ma même voix. *

Malika : Prend cette fiole si la douleur persiste, juste une gorgée pas plus.

* Je range mon matériel de potion et mes ingrédients dans mon sac, m'allonge sur l'herbe fraîche, j'invite Thomas m'y rejoindre, tour ma tête dans sa direction et reprend de ma même voix. *

Malika : Au fait Thomas ? En quelle année es-tu ?

* Malika semblait s'amuser de la situation. *

- Pas exactement, je ne suis quand première année, je n'ai pas encore appris, par contre ma mère m’a appris à créer une potion pour soigner les blessures.

* Pas de sorts, mais une potion donc. Soit, pourquoi pas. La vipère remercia Thomas pour sa confiance tout en fouillant dans son sac. Ce n'était pas vraiment une question de confiance... Enfin il ne savait pas trop au final. Il n'avait pas tellement envie de lui faire confiance, mais c'étati comme si c'était plus fort que lui.
Elle s'assit en tailleur et commença à préparer sa mixture dans un petit chaudron.
Sérieusement, qui allait se balader dans la forêt interdite avec son chaudron? Cette fille était décidément bien particulière...
Thomas observa ses gestes afin d'identifier ce qu'elle faisait, mais force était de constater qu'il ne connaissait absolument pas cette préparation. Au bout de plusieurs minutes, elle se releva et appliqua une sorte de pâte orange sur la coupure du jeune garçon. Il se retint de retirer sa main par réflexe. En effet, le contact avec la pâte était irritante à l'application, mais il se rendit vite compte qu'elle était en fin de compte très apaisante. La jeune fille massa sa main durant quelques minutes. Le silence sembla s'éterniser. Thomas essaya de ne pas se concentrer sur la sensation qu'il ressentait sur ces doigts, mais ce n'était évident... Il y avait vraiment un contact électrisant lorsque Malika le touchait... Il ne comprenait pas vraiment ce que cela pouvait signifier, c'était étrange. *

- Tu ne sens pas trop la douleur ?

* La voix de Malika, un peu plus douce qu'auparavant, du moins en avait-il l'impression le sorti de ses pensées. Il secoua simplement la tête. Non, il ne ressentait plus rien du tout. Il ne savait pas ce que c'était que cette pâte, mais elle était très efficace!
Elle lui donna une petite fiole en cas de besoin. Le jeune garçon la prit et la garda dans sa main gauche. En effet, il n'avait pas pris de sac avec lui. Il la remercia pour ses soins avant de répondre à sa question. Il était d'ailleurs bien content qu'elle l'ait appelé par son prénom et pas par ce prénom absurde de "beau ténébreux". D'ailleurs, ne fallait-il pas être noir de cheveux pour être dénommé "ténébreux"? *

- Je suis en troisième année. Et toi, première? Ou deuxième année peut-être?

* Il soupira et passa sa main libre dans ses cheveux, les emmêlant un peu plus. *

- Intéressant ta préparation. Qu'est-ce que c'est exactement?

* Il n'avait aucune idée de pourquoi il se mettait à faire conversation soudainement! Il aurait juste dû la remercier et repartir en direction du château. Mais il resta planté là, à regarder la jeune fille et son attitude de diva. *