* Harold, qui était venu pour aller chercher ses fournitures scolaires, était également ébloui par le chemin de traverse. Il savait précisément ce qu'il devait acheter et où il devait aller, car il avait des frères sorciers dont il avait déjà accompagné. Donc, au fil du temps, il commença à s'habituer au Chemin de Traverse et de ses sentiers déroutants avec ses nombreuses boutiques. Il se rendit à la dernière boutique dont il avait besoin d'aller et il était content, car il avait enfin fini sa liste. Ayant fini sa liste pour la rentrée des classes, il sortit de la boutique. Avant qu'il put s'en aller vers l'endroit où ses parents l'attendaient, il se sentit bousculé par une fille dont le visage était familier et dont Harold se rappelait avoir vu aux salon des nouveaux. *

Eh, Salut Anna, c'est cool de te revoir, Tu es perdu?

* Déconcerté par cet introvertie, il la poursuivit en chemin. Affolée comme elle l'était, Anna s'était volatilisé. Il devait la retrouver avant qu'elle se mettent dans les embrouilles. Il parcourut tout le chemin de traverse afin de la trouver.

Il devait réussir à trouver une jeune fille de son âge aux cheveux châtains et aux yeux bleus. Ce ne devait pas être très difficile de la trouver avec l'air paniquée qu'elle portait sur son visage.

Cela fut long, mais il parvenu à la retrouver près du Magasin de Balais. Il se rua vers elle pour aller l'aider. La jeune fille en larmes ne trouvait pas ses parent et il était son devoir de l'aider.

Il prit sa main et l'emmena hors de la foule et lui dit: *

-Écoute, je sais qu'on se connaît à peine, mais si tu veux retrouver tes parents, tu dois me faire confiance !

* Il regarda Anna et essaya d'y déceler quelque chose, la Serdaigle était angoissée et surtout timide... *

* Bien qu'Anna acceptait son aide avec un air bien exaspéré, d'un air froid, elle le somma de lui demander où était ses parents. *

- Mes parents m'attendent près de l'entrée du Chemin de Traverse et pour y avoir parcouru plusieurs fois, je peut te dire..

* Il ne put finir sa phrase, car Anna l'emmena vers un autre endroit plus sombre. Georges voulait repartir, car il était convaincu que ces parents ne pouvait se trouver à cet endroit. De plus, il n'était pas vraiment confiant de pénétrer dans cette ruelle sombre et lugubre.

Anna ne semblait pas de cette avis et selon Georges, la curiosité lui avait piqué au vif. Le Serdaigle soupira, car ses parents allait s'impatienter d'une minute à l'autre.

Malheureusement, il ne put songer plus longtemps, car Anna était déjà en train de commencer à aller plus loin dans cette allée malfaisante. Lorsqu'il s'approcha, des souvenirs l'envahit sur cette place et arriva aussitôt à se situer. *

- Anna, faisons demi-tour, on se trouve actuellement dans l'allée des embrumes !!!

Georges, Partons!

Lorsqu'il attendit Anna prononcer ces mots, il sut qu'elle venait de réaliser dans quel pétrin elle les avait mis. Il courra sans prendre un moment pour voir si Anna était derrière lui. Il savait bien que quelque chose clochait dans cette allée lorsqu'il vit cette lueur obscure. Il était déjà loin lorsqu'il entendit un hurlement provenant de la voix aigüe d'Anna. Il redoutait le moment, car il devait se porter à son secours, mais Georges n'était pas très courageux. Malgré ça, il n'allait pas abandonner son amie. Il fonça malgré ses peurs à l'endroit du cri. Aucune présence d'Anna ne subsistait dans le lieu. Il arpenta les boutiques, sans succès. Il se mit en quête d'indices. Non loin de l'endroit, il aperçut une baguette. Ce devait sans doute être celle d'Anna. Elle faisait 34 centimètres, faite à partir de noisetier (comme celle de Georges) et de crin d'Ethonan. Bien que cela ne fut guère utile, il la rangea dans sa poche afin de lui redonner s'il la retrouve. Il n'eut pas à chercher bien longtemps, lorsqu'une lumière se fit voir dans un bâtiment au fond de l'allée. Il courut, entra dans la maison à bruit précipité et entendit des hurlements. Il alla dans la pièce d'ou provenait les sons. Il jeta un coup d'oeil en étant discret. Dans le coin de la pièce, Anna était retenu en otage, la bouche couvert de ruban. En étant le plus discret possible, il jeta un sort pour couper les liens de la corde sur lesquelles Anna tentait de s'échapper. En espérant qu'elle l'aie remarqué...