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Mot de passe perdu?

Le Grand Escalier

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[Résultats] L'encre auto-correctrice
[Concours] [Jeu]
Elliot Strand
2e année
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Serdaigle
Messages : 3691
Titre : L'encre auto-correctrice
Créé : 09/03/2019 à 15:08:50 - Modifié : 20/04/2024 à 10:24:11


Bonjour à vous, sorciers et sorcières de tous âges.

Comme vous le savez sans doute, l'usage de l'encre auto-correctrice est formellement interdit par le règlement de l'école pour éviter les fraudes aux examens et vous pousser à tout simplement mieux réviser et connaître votre langue un maximum.

Pas de panique ! Vos textes truffés de fautes ne resteront pas dans cet état déplorable. L'équipe des bibliothécaires est là pour vous aider à aiguiser votre œil à travers de petits ateliers de correction. Nous vous proposerons régulièrement un court texte dans lequel nous cacherons de nombreuses erreurs. Vous aurez alors une semaine pour toutes les débusquer et nous envoyer la version corrigée du texte par mp, en mettant en gras les éléments que vous avez modifiés. Une fois la semaine passée, la correction sera disponible et tâchera d'expliquer point par point les différentes erreurs qu'il fallait corriger. Vous pourrez à ce moment-là poser des questions sur des passages qui vous semblent encore obscurs ou demander des précisions.

En plus de vous faire progresser en français, vous serez récompensés de vos efforts ! Voici ce que vous gagnerez en fonction de votre réussite :

Aucune faute : 10 points de maison + 5 mornilles
1 ou 2 faute(s) : 4 points de maison
3 ou 4 fautes : 3 points de maison
5 ou 6 fautes : 2 points de maison
7 fautes et plus : 1 point de maison

Attention à ne pas ajouter des erreurs là où il n'y en avait pas ! Les corrections d'ordre stylistique ne sont pas demandées : ne changez que ce qui est réellement fautif.

Aussi, chaque année, à l'issue de l'été, une personne se verra attribuer le grade honorifique « magicorrecteur » pour une durée de trois mois. Cette personne sera choisie en fonction de sa fréquence d'implication mais également de la qualité de ses participations, et ce depuis l'été précédent.

Alors à vos plumes ! Prêts ? Raturez !
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Spoiler : Palmarès des magicorrecteurs
Été 2023 : Fiona Romney
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Spoiler : Anciens textes

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Spoiler : 1er Texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
La Déesse me bénie au moins quinze fois tout les matins. Peut être est-ce pour cela que je suis toujours en vie. Plus bas, en arrivant prêt du port, non loin de l'arsenal, la via Mala devient plus animé. Elle sens le sang ; des filets noirâtres ruisselent sur la chausser en pente depuis les abattoir. Des nuées de mouches obscurcisse l'air, des colonies de rats grouillent au bas des façades. On entend parfois, derrière le mur d'un bouché, le meuglement d'une bête qui sent la mort. Arrivé là, je m'arrête. Je hume à pleins poumons l'odeur de viande, de crasse, de merde. Je me ressource. Je suis chez moi.
Je m'appelle Benvenuto. Ces un prénom qui me va mâle. Je suis tueur à gage.

La correction est ici.

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Spoiler : 2e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Je l'observais, discrètement. Elle tentait, temps bien que mal, de dissimuler ses cernes assombries par les nuits sans sommeil avec son fard aux tintes mordoré. Cela faisait quelques temps déjà que j'étais tombé sous sont charme. Et chaque jour, dans le train toujours bonder, je profitais de sa présence pour la regardée toujours avec plus d'admiration. Une fois le train arrivait en gare de Grenoble, elle descendait sur le quai après avoir rangé son nécessaire de maquillage dans son sac a mains, suivant quotidiennement la même routine. Mais cette fois la, j'avais comme l'impression que je devais la suivre, comme une mission divine. Je l'ai suivi de très près pendant de longs mètres avant qu'elle ne biffurque à droite derrière un mur. Après avoir courru sur une dizaine de mètres pour tenter de la trouver, je ne vie rien là où elle était sensée être. J'avais beau regarder bien partout, elle n'était nul part. D'autant plus qu'il n'y avait aucune issue... Elle avait disparue en emportant avec elle mon cœur désormais brisé.

La correction est ici.

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Spoiler : 3e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Respire, fais les plus grandes enjambées possibles, ne le perd surtout pas de vue, gagne de la vitesse, utilise tes bras. Ses cheveux claquaient derrière ses oreilles. Sa détermination se mêlait de colère. Anna ne perdait pas une miette de terrain. Tu ne me les voleras pas ! lui promit-elle, la rage au ventre.
La longue veste marron du voleur flottait devant ses yeux, à une vingtaine de mètres. L’homme tourna au coin d’une rue. Elle fit râper ses doigts sur le bâtiment pour s’aider à tourner sans perdre trop de vitesse dans le virage. Des larmes obstruèrent sa vue. Elle les essuya du revers de sa manche et serra les dents. Elle gagnait du terrain. Au moment précis ou ses doigts se refermèrent sur la veste marron, son cœur manqua un battement. La course s’arrêta. Ses pieds ne trouvèrent plus le sol et elle flottait dans les airs. Le voleur tourna la tête et dévoila un visage apeuré et incrédule. Ses grands yeux, d’un bleu profond, dévisageait la jeune femme.
Les deux longues secondes de transition firent place au dure atterrissage. Anna desserra les doigts, sous le choc. Après le velours de la veste, ce fût la douceur de la mousse que rencontra ses doigts. Un frémissement la parcourut ; son corps s’était attendu à une chute sur des pavés et se mis à trembler d’incompréhension. Et elle n’était pas la seule à être perturbée par la situation.
— Tu cours vite… J’ai mal calculées mes chances, commença l’homme épuisé, penché en avant et les mains sur les genoux.
Sa première réaction, par l’humour, ne suffit pas à le détendre. Il évacua sa colère contre lui-même dans un flot d’injures colorées que je ne prendrais pas la peine de retranscrire. La panique commençait à l’envahir maintenant qu’il prenait conscience de l’ampleur de son erreur. Il ressentit le besoin de donner un coup de pieds dans l’arbre le plus proche mais n’avait plus assez d’énergie pour le faire et se contenta de se laissé tomber au sol, près des racines. Il se mit alors à réfléchir au moyen de réparer sa bourde, avant de se faire interrompre très rapidement.
— Ordure ! Tu vas me les rendre ! Elles me viennent de ma grand-mère ! Je lui ai fait la promesse de les gardés ! Grogna Anna en reprenant difficilement son souffle entre chaque phrase.
La victime se releva tant bien que mal et empoigna le col du voleur.
— Rends. Les. Moi.
— Ce n’est qu’un empreint, je te les rendrais plus tard. Ne sois pas si égoïste !
— Même pas foutue de connaître la différence entre un ordre et une question ? Entre une position de force et de faiblesse ? Si tu crois que tu vas m’échapper, tu rêves…
Le voleur n’avait plus la force de s’engager dans une joute verbale. Il laissa parler son regard, qu’il promena aux alentours, et soupira en regardant fixement la jeune femme. Elle observa les environs à son tour, comprit qu’il s’était passé quelque chose d’étrange et relâcha sa prise pour reculer de quelques pas, les yeux écarquillés et le cerveau embrumé. Son regard n’arrivait plus à se décoller de la magnifique arche en pierre, unique point de jonction entre Stergann et la Terre. Elle sentait se propager dans ses pieds les vibrations régulières qui émanaient de l’arche, semblable aux lents battements d’un vieux cœur.

La correction est ici.

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Spoiler : 4e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Citation : Troisième texte
Enfin, premier juillet, le début des vacances pour Carolina, qui les attendaient de pieds fermes depuis quelques mois. Il fallait avouer que ces derniers temps, celle ci avait son esprit quelques peu détourner du fait de ses épreuves. Comme à l'accoutumé, elle les avait réussi avec brio, ce qui genéra une fierté auprès de sa famille. Désormais, plus rien ne pourraient entamé sa bonne humeur, plus encore lorsqu'elle appris que ses proches avaient décidé de lui concocter une surprise : ils partiraient en vacances ensembles et Carolina n'avait aucune idée de la destination. Elle avait pourtant tenté de tirer un maximum d'information auprès de ses parents, mais rien de concluant. Plus les jours passaient, plus elle s'enquérissait de savoir où elle partirait… Lorsqu'enfin vînt le jour du grand départ, ses parents lui annoncèrent que ses vacances risqueraient de se prolonger : elle intégrerait une toute nouvelle école, afin d'apprendre à maîtrisé certains pouvoirs dont elle était dôtée.

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Spoiler : 5e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Adam jouait dans la cuisine, seule, comme bien souvent le mercredi. Aucun des autres enfants qui étaient hébergé dans le foyer ne voulait partagé ses histoires imaginaires qu’il aimait racontées pendant de longue minute avant le début du jeu. Ce jour-la, il avait inventé une histoire de trésor caché par des pirates qui n’avait jamais pu revenir sur les lieux de leurs cachettes. Il était l’héritier d’un de ses pirates et avait reçu en héritage une carte qui indiquait précisément l’emplacement du trésor. En l’occurence, le tiroir du buffet. Après de longues recherches et des péripéties incroyables qui mêlaient des lions, une tempète et des indiens, il pouvait enfin découvrir le bu teint : des pièces de monnaie abandonnée par les adultes pour vider leurs poches. Comme il était riche à présent ! Il fesait tintinnabuler les pièces dans sa main, le regard absent. Déjà, il se prenait a rêver que l’avenir sera fait de voyages en avion vers de lointaines contrés où il pourrait vivre de folles aventures.

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Spoiler : 6e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Lein posa son regard sur le visage d’Ogan, dont elle distinguait à peine les traits dans la semi obscurité du parc de l’école. Elle voulait arranger les choses pour lui, mais leur classe semblait avoir besoin d’une victime. Sans magie, Ogan ne pouvait étoffer son art martiale et ne pratiquait que le combat simple. Lein l’admirait pour cela, il avait réussit à se hisser dans la meilleure école de combat au monde sans avoir de talent magique, ce qui prouvait un potentiel remarquable et pourtant dénigré. Elle poussa un soupire et donna un coup de pied dans un cailloux.
— Tu sais, Lein, je m’en fiche qu’ils se moque ouvertement de moi. Au moins ils ne sont pas hypocrites et je ne perdrai pas mon temps a essayer d’être amis avec des imbéciles.
— C’est une façon de voir les choses, oui, mais on a bien compris ce qu’ils pensent de toi. Ils n’ont pas besoin de continuer, c’est dur de ce concentrer sous une pluie d’insulte.
— Au contraire, ça m’encourage, ça me fous tellement en rogne que je suis déterminé à gagner contre mon adversaire, plaisanta Ogan.
Lein rit doucement. Elle posa une main sur l’épaule de son camarade pour lui témoigner son soutient, et suggéra de faire demi-tour.
— C’est bientôt le couvre-feu, et il fait froid. Rentrons avant que les rumeurs ne prennent plus d’ampleur.
— Elles ne me dérangent pas, ces rumeurs.
— Et ma famille en est horrifiée. Elle tient à ce qu’on trouve toutes quelqu’un du signe de l’énergie, pour préserver le patrimoine familial, « pur depuis des générations », dit-t-elle d'une voix ridicule en imitant les manières de sa mère. N’importe quel autre signe vaudrait une destitution, je ne sais pas trop ce que je risquerais à être avec un Sanguin.
— On t’effacerais de l’arbre généalogique, je pense !
— Oh ce que j’en rêve… Tu ne t’imagines même pas à quel point.
— Attention, si tu te mets à me draguer juste pour couper les ponts avec ta famille, je le prendrai mal.

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Spoiler : 7e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
- Vous avez deux séance pour préparer une chorégraphie de groupe.

Cette sentence, terrible, prononcée avec froideur, me fait l'effet d'un coup de massu. Un rapide coup d'œil vers mes congénères me fais comprendre que je ne suis pas la seule. Nous sommes en septembre, on vient de commencer le court, et elle nous demandes déjà de faire nous-même une chorégraphie ? Je n'ai pas signé pour ça, moi. Je voulais me laisser portée par une chorégraphie montée de toutes pièces, que je n'aurais eue qu'à apprendre. Je ne suis pas quelqu'un de créative. Peut-être que je ne suis pas faite pour sa.

Je regarde mes copines d'un air las. Si je suis venue ici, c'est plus pour elles que pour la danse, pour être honnête. Je suis souple comme un ver de lampe et j'ai la grâce d'un éléphant. Mais à force d'arguments, elles m'ont convaincu de m'inscrire. C'était un piège, je le savais.

Je prends une grande inspiration. J'ai décidé de prendre sur moi et de laisser une chance à la danse. Je vais peut être me découvrir un don caché pour cette discipline. J'essaye de m'imaginer dans un an. Je suis au saint de cette même troupe, mais cette fois je suis au centre, et je me déplace avec grâce et agilité sur le parquet, comme si le sol et moi ne faisions qu'un. Je suis sereine et rayonante, mes traits sont détendues. Je ne pensais pas être capable de me projeter dans une vision aussi éloignée de la réalité.

Le regard sévère de la prof me ramène sur terre. Je grimace un sourire et m'ampresse de rejoindre les autres.

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Spoiler : 8e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
— Khésis, Cloteonn ne servira pas à grand chose sans sa jambe. Achèves-la.
— Et la petite ? On la laisse-là ?
— T’as vu son tatouage sur la joue ? C’est une bourge, non ? Je ne veux pas risquer des emmerdes avec les Haon’Noe. Ils sont trop proches de l’Ordre.

Cloteonn reprit connaissances et tendit les bras vers Khésis dans l’espoir de trouver son soutient. Prise de pitié pour la femme-oiseau, qui m’intriguais énormément, je plongea dans son esprit. Je n’y resta pas longtemps, horrifiée de ce que j’y découvris. Cloteonn n’était plus humaine, son esprit violé et déformé ne présentait que des traces de souvenirs de sa vie. Je la vis dans une salle de classe, devant une flopée d’enfants joyeux. Je la vis chez elle faire un puzzle avec ses enfants et leur père. Je la vis serrer son enfant sans magie dans ses bras, d’abord dans une chambre innocente, puis au milieu d’une bataille que je reconnus comme la guerre civil, où des lynchages avaient drastiquement réduits le nombre d'enfants du sang. Je la vis s’interposée entre des adultes fous et son enfant en pleure. Je la vis se faire emporter par des officiers et mettre en prison. Je la vis sur une table de laboratoire parmis des centaines d’autres hommes et femmes. Je la vis souffrir, perdre son humanité puis sombrer dans le néant.

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Spoiler : 9e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Faisons désormais un saut de quelques siècles. Ne t'inquiètes pas, je t'informerais des événements les plus marquants en temps voulus. Je sais que toi, ô être humblement humain, tu aurais vite fait de te noyer dans un torrent d'informations indigestes. Je vous connais bien, toi et ton ignorance si difficile à prendre en compte ! Car ce n'est pas la première fois que j'ai à faire à quelqu'un de ton espèce. J'ai rencontré Anna en l'an 600, soit 465 ans après ma naissance. Je me suis beaucoup amusée a remonter son passé et à décortiquer son histoire – intéressante pour une terrienne. Et si je te racontais ?

La nuit, Anna aimait dormir les stores ouverts pour laisser les rayons de lune frapper son mur et éclairés les deux opales qui l’ornaient. Leur ovale parfait projettait une douce lueur qui rassurait la jeune fille depuis des années. Le souvenir de sa grand-mère, dont elle avait héritées ces pierres précieuses, semblaient y résider. Parfois, quand elle n’arrivait pas à s’endormir, elle approchait ses mains de leur surface chatoyante et ressentait une chaleur qui remplaçait un petit peu la présence de celle qui l’avait élevé jusqu’à ses huit ans.
Une nuit, la première après le décès d’Annabelle, Anna avait décroché les opales pour dormir en les serrants contre elle, geste tout-à-fait anodin en apparence, mais qui ne resta pas sans conséquences.

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Spoiler : 10e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
NB : Le narrateur est une narratrice.

Après notre séance, nous allâmes au Bon vivant. Nous nous installîmes à notre table habituelle, mais comme nous étions plus nombreux que d'ordinaire, il fallut que quelques-uns d'entre nous occupent d'autre table. Comme par hasard, je faisais parti de ceux-là. Je finis par me retrouvai toute au bout d'une table, installée sur un banc dur qui faisait ressortir mes os. Le serveur vint nous apporter la carte. Je vis sur la gauche qu'Inès et Séb avaient déjà reçus leur plat. Un petit coup d'œil à droite, et je constatais avec grand étonnement que là aussi, leur assiette était pleine. Étais-je tombée dans une faille temporel ?

Puis le serveur revint et demanda ; si tout allait bien. Alors, sortant de mes gons, j'explosai : non, tout n'allait pas bien, rien n'allait même, j'étais mal installé, j'avais mal aux fesses parce que le banc était trop dur et mes os trop pointus, je mourrais de faim et tout le monde était servi sauf moi.

Le serveur gardat son sang-froid et répondit à voix basse : « ce n'est pas parce que je travaille ici que je suis d'accord avec tout, madame ». Ces paroles eurent pour effet de me calmé immédiatement. Malheureusement, la patronne l'entendit et se pointa dans la salle pour faire une scène au pauvre serveur, qui fut renvoyé sur le champ.

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Spoiler : 11e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Dans un coin de la pièce, on pouvais apercevoir une cage en verre, don le socle était uniquement constitué de petites pierres oranges. Sous la verrière, seule une pétale subsistait sur les branches. On se serait cru dans « La Belle et la bête », imaginant la rose étincelante sous sa coupole de verre. Mais c’était une toute autre décoration qui ornait les murs de l’appartement, localisé en plein cœur de Paris.

L’endroit ne payait certe pas de mines, mais l’avantage était que le loyé était peu cher, ce qui n’est pas négligeable lorsqu’on habite à Paris. Quand le jeune étudiant est venue le visiter, la propriétaire lui a listé le nombre de locataires qui s'y sont succédés avant lui et les sordides affaires qui s’y sont produites. On raconte qu’une nuit, une femme est entrée par le balcon dont la porte avait été laissée entrouverte, afin d’obtenir vangeance de son ancien mari, qui vivait à présent dans l’appartement.

Mais même après avoir eu connaissance de ces histoires, le jeune homme n’a pas taris d’éloges sur sa nouvelle maison. Chaque pièce était magnifiquement décorée à l’aide d’objets et de meubles aux couleurs diverses est variées. Au milieu du salon trônait un beau canapé, dont le fabriquant n’était autre qu’un de ces ancêtres.

Malgré le fait que la nuit était déja tombée sur la ville, en raison de sa visite tardive des lieux, il avait l’impression que la lumière ne quittait jamais les murs; mais surtout, il restait captiver par la fleur prisonnière de son enveloppe transparente.

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Spoiler : 12e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Ma mère est une sorcière, mon père est un moldu. Ma mère ne lui a annoncé cela que lorsqu’ils ont été marié. Je vit dans une maison qui se trouve au Nord de l’Angleterre, dans un petit village qui compte bon nombre de sorciers. Il faut dire que c’est pratique d’avoir des copains qui ont des pouvoirs magiques, car ça nous permet de nous entraîner à jouer au Quidditch pour intégrer l’équipe de l’école. Ils ont tors de nous interdire de pratiquer la magie pendant les vacances. Je rêve d’atteindre l’âge de mes dix-sept ans pour enfin pouvoir utiliser ma baguette sans aucuns risque ! J’adore quand elle produit des petites étincelles bleues, voir rouges parfois ! Mais c’est vrai qu’il faut faire attention à ne pas attirer l’attention des moldus et rester vigilant en toute circonstance.

Une fois, j’ai failli me faire repérer par le fils de notre voisin. C’est arriver avant que je n’aille à Poudlard. J’étais en train de regarder les feuilles de l’arbre dans la cour et par la force de ma pansée, j’ai réussi à les faire grandir rapidement et à les multiplier. J’ai compté près de quatre-vingt feuilles en plus ! Joe m’a regardée par dessus la haie et a laissé échapper de sa bouche un son bizarre. « Non, attend ! », lui ai-je dit. Mais trop tard, il s’était déjà enfui.

J’ai eu peur qu’il ne raconte tout à ses parents et que les ennuis finissent par arriver. Pourtant, ses parents n’ont pas cru son histoire, quoiqu’il ait pu raconter, et, à partir de ce jour, j’ai appris à faire plus attention et à ne pas faire de magie n’importe ou.

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Spoiler : 13e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
NB : Le narrateur du texte est un personnage masculin.

Fin décembre, le début de l'hiver. Ce n’est pas ma saison préférée mais peut-être est-ce la votre. Le froid s’installe, doucement mais sûrement. Emmitouflé dans mon manteau, je fais les cents pas sur le trottoir. Cela fait maintenant dix minutes que j’attends ma sœur qui devait me récupérer près de la mairie. Pour m’occuper, je marche et me perds dans mes pensées. Le froid, très peu pour moi, je préfère m’imaginer sur une plage de sable fin, nageant dans les eaux turquoises. Un coup de vent frais me ramène à la réalité. Je soupire doucement. Mais que fait-elle ? Après qu’elle ait fait la fermeture de son magasin, elle devait venir directement ici, à notre point de rendez-vous. Elle est vendeuse dans un magasin de proximité, un poste mal rénuméré qu'elle apprécie néanmoins. En parralèle, elle fait parti d’un groupe de rock depuis deux ans. Ils font régulièrement des concerts dans la salle des fêtes du village. Ce qu’ils préfèrent jouer ? Le rock Britannique.

Un bruit de klaxon me tire de mes pensées. Au loin, je vois deux lumières s’avancer vers moi. Le bruit de la voiture fait s’envoler un bel hibou qui était caché dans l’arbre de l’autre côté de la route.

« Salut ! Excuse-moi pour le retard, je me suis faite avoir par les embouteillages... Un accident sur la route. » dit-elle avec un air désolé.

Je lui souris, lui fait comprendre avec un mouvement de la tête que ce n’est pas important et la salue. Je m’apprête à lui demander pourquoi elle n’a pas cherché a me prévenir mais, en voyant l’état du siège passager, je comprends. Il est sans dessus dessous ! Elle a du renverser le contenu de son sac à main en essayant d’attraper son téléphone.

« Tu as pensé à la bûche ? » ajoute t-elle.

Je lève le bras droit pour lui montrer le paquet que je tiens depuis un long moment maintenant puis m’installe sur le siège. Ce soir, c’est le réveillon de Noël.

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Spoiler : 14e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
NB : Le narrateur du texte est un personnage masculin.

La cours de récréation raisonnait des cris enthousiastes des élèves profitants pleinement de la pose pour évacuer le trop plein d'énergie qui les avait faits gigoter sur leur chaise pendant de longues minutes avant la sonnerie. Assis sur une souche, loin des autres gamins, un petit garçon traçait du bout de son baton des courbes approximatifs dans la poussière. Il sembla hésité puis effaça le gribouilli de sa semelle pour reprendre à zéro jusqu'à obtenir des silhouettes acceptables. Voilà, ça ressemblait enfin à un chien. Il poussa un soupire. De soulagement ? Pas tellement. Il était un peu déçut. Dans la poussière, tout semblait terne et maladroit. Il s'apprêtait à effacer de nouveau son travail quand il cru discerner un mouvement suspect. Le cercle représentant la balle avait bouger.
Intrigué, il se pencha sur son dessin, et constata, stupéfait, que les courbes du chien s'animaient délicatement. Les formes prirent peu à peu vie : les pâtes du chien s'élancèrent en direction de la balle imaginaire, sa mâchoire s'ouvrit pour récupérer le jouet et sa queue se mit à frétiller de joie. L'émerveillement qui se peignit sur le visage du garçon fut interrompu par la sonnerie, mais il passa le reste de la journée à repenser à l'étrange phénomène. Il était à des lieux de s'imaginer ce qui l'attendais dans les semaines à venir, mais il était déjà sûr d'une chose : jamais il n'oublierait le jour ou la magie était entré dans sa vie.

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Spoiler : 15e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
NB : Le narrateur du texte est un personnage féminin.

Ah ! Que cette année sabatique me faisait du bien. L'an dernier, j'étais sorti du lycée et j'avais bien besoin de me changer les idées. J'avais choisi de d'abord partir six mois dans la forêt Amazonienne, avant de rentrer au pays pour travailler un peu, tout en suivant des cours de langues.

Là où j'étais partie, dans le Nord-Ouest du Brésil, je ne m'étais jamais sentie aussi bien. Les peuples locaux étaient particulièrement aimables et après que je me sois promenée dans la nature, j'avais toujours le sourir. Seul bémol, les migales et gros serpents qui rodaient, cachés sous les feuillages.

À présent, j'étais de retour en France. Je travaillais en tant que serveuse dans un bar de Paris. En parallèle, j'apprenais l'Allemand et le Japonais dans une école du centre ville. L'Allemagne et le Japon étaient deux pays ou je rêvais d'aller.

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Spoiler : 16e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
NB : Le narrateur est un personnage féminin.

En ce beau samedi de printemps, je me retrouve devant le supermarché situé en face de chez moi, prête à affronter la foule qui se trouve dedans. De part mon expérience, je sais que cette horaire n’est pas des plus calme mais mon réfrigirateur est vide et mon ventre tout au temps. J’ai à la main la liste de course que j’ai écrit juste avant de partir : farine, pâtes, oeufs, fraises, etc... tout y est.

J’entre dans le magasin et commence par le rayon fruits et légumes. Dans la première rangée, j’attrape une salade et les tomates qui vont de paire avec. Je m’apprête à passer dans la seconde rangée quand, sidérée, je réalise qu’il n’y a plus de concombres. Je peux faire une croix sur mon tzatziki... Pour pallier à ce problème, je décide de prendre une botte de radis à la place.

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Spoiler : 17e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
La nuit tombe doucement sur Godric’s Hollow. La Lune, pleine dans le ciel, éclaire les rues du village semi-magique. Un hurlement se fait entendre au loin et brise le silence du lieu. Au même moment, des silhouettes se faufilent dans la rue principale, allant de maisons en maisons. Nous sommes le trente et un octobre et c’est la nuit d’Halloween. La nuit où les vampires, les zombies ou encore les loup-garous sont à l’honneur ; la nuit où Mathilde et sa sœur, Clara, visitent chacuns de leurs voisins en quête de bonbons.

Les voici d’ailleurs s’approchant de la maison située au numéro huit. Après une demie-heure d’expédition, cette demeure est la dernière qu’elles comptent visiter. Mathilde avait opté pour un déguisement de citrouille rouge orange alors que Clara avait revêtu un costume de zombie acheté en magasin. Elles s’approchent de la porte d’entrée et sonnent ensemble. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre et laisse apparaître une vieille dame.

« Bonjour Madame Smith ! Un bonbon ou un sort ? » disent les deux petites fille en cœur.

Augusta Smith prends un air faussement effrayé et se tourne légèrement vers la droite. En-dessous du porte-manteau se trouve des friandises en tout genre. Augusta en extrait deux paquets de chocogrenouilles qu’elle tend ensuite aux deux fillettes.

« Oh non, je ne veux surtout pas recevoir de sort ! Vite, prenez ces bonbons. »

Madame Smith ponctue sa phrase d’un clin d’oeil, puis salue les deux enfants avant de refermer la porte.

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Spoiler : 18e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
J'avais vu des centaines de paysages époustoufflants depuis que je suis né... et cette soirée ne déroge évidement pas à la règle. En effet, le mouvement de jeunesse dont je fais parti a organisé une sortie à la plage pour ses adhérants. C'est ainsi qu'il est dix neuf heures et que je suis en train de contempler le coucher de soleil. Je ne me lâsserai jamais des tons oranges qu'un tel spectacle peut nous offrir.

Je n'ai jamais vraiment compris d'où pouvait provenir mon intéret pour le ciel, il n'y a d'ailleurs pas une seule personne de mon entourage qui n'en fasse de même. Mon frère m'a d'ailleurs toujours trouvé fatiguant quand j'évoque le sujet chez nous. Quoiqu'il en soit, cela a toujours constitué un échappatoire à chaque soucis qui pouvaient ponctuer mon quotidien.

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Spoiler : 19e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
D'aussi loin que je me souviens, le printemps a toujours été ma saison préférée. La nature s’éveille et colore les paysages de mille et unes couleurs. De nouveaux fruit et légume envahissent les étaux du marché tandis que les fleurs éclosent et révèlent leurs pétales colorées dans les champs d’à côté. Les températures se réchauffent et font progressivement oublier le froid hibernal qui nous a envelloppé pendant plusieurs mois. Les oiseaux chantants dès l’aurore accompagnent chaque réveil d’un peu de douceur.

Le printemps est une renaissance qui marque la prédominance de la vie dans un monde précédement endormi. Il a été la source d’inspirations de nombre d’artistes : peintres, sculpteurs, danseurs, etc... Et vous, qu’elle place a le printemps dans votre coeur ?

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Spoiler : 20e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
C'est l'été, la saison que Charlie avait attendu avec grand hâte. Les mois estivaux signaient la reprise des belles ballades en forêt, des amours interdits et des soirées prolongées. En définitif, le pur bonheur. Bien entendu, tout cela à l'écart de toutes les obligations et formalités scolaire.

Alors que certains élèves décidaient de rentrer chez leurs proches pour profiter, d'autres préféraient rester au chateau. C'était préicisément le cas de Charlie. Avant que les groupes d'amis ne soient romputs par les choix des uns et des autres, le sorcier avait pour voeu de tenir une réception dans la grande salle avec ses amis les plus proches.

Ce soir-là, Charlie s'en étais tenu à préparer les invitations et à les déposer à l'entrée du dortoir de chaque invité. Son événément se tiendrait le vingt-quatre juin, et une chose est sûre, il n'était pas prêt d'oublier cette soirée !

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Spoiler : 21e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
La fin du mois de décembre était systématiquement marquée par la bienveillance des autres élèves, des somptueux banquets où régnaient l'abondance, les paysages enneigés et les professeurs plus approchables qu'à l'accoutumé. Cette ambiance plus familiale était d'autant plus présente que certains élèves avaient regagnés leurs familles partout au Royaume-Uni et outre-manche, plaçant véritablement le château dans une sorte de cocon à taille humaine. Cependant, si l'ambiance était à la fête, il fallait toutefois se faire une raison : les cours allaient reprendre rapidement, assortis de leur rythme effreiné, et il fallait inexorablement placer les fêtes de fin d'années sous le signe des révisions, dans une certaine mesure…
Si certains élèves faisaient des révisions une de leur résolution pour l'année a venir, d'autres préféraient nier tout ceci et profité des moments féériques que la fin d'année apportait.

La correction est disponible ici.

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Spoiler : 22e texte : TERMINÉ, ne pas envoyer
Note : Session spéciale 1er avril

Prêt deux le océan vivait une jeûn garcon haie son granpaire. An se dout débus deux printemp, la envi l’heure avais pris deux voïager. Après unes longues discution, îles avaient décider deux partirent vert leu Sud, vert dés Terres plu chaude. Îles préparairent l’heures à faire, enportant vêtemants légers haie victuaies, puits partir deux bons matîn. Îles navet pas deux destinassion précises haie ç’orienter grace à hune boussolle doré. Haut fur haie a mesurre deux l’heure épopé, îles découvrir deux nouveau lieus, fîrent deux nouveles rencontre haie aprirent deux nouveles langes. Peut a peut, leu mangue deux l’heure méson grandi haie, hun bo jour, îles finir part fer demitour. Hun re-tour a là méson biens méritait pourre deux aventuriés a là tète plaine deux sous venir.

La correction est disponible ici.


Citation : À envoyer à XX par MP avant le XX
Texte à venir...

/!\ ATTENTION : NE POSTEZ PAS VOS RÉPONSES SUR CE TOPIC /!\


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Antonin Draconimus
3e année
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Poufsouffle
Messages : 5141
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 09/03/2019 à 15:18:36

Un nouveau jeu qui a l'air vraiment intéressant et ludique.

J'y participe ;)

Merci à vous les bibliothécaires :)
Mirabelle Boutondore
2e année
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Gryffondor
Messages : 11325
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 09/03/2019 à 21:08:11

c'est sympa, merci les bibliothécaires. Je m'inscris pour ce jeu.

badges par Gideon Brunswick aka Artus Myrtle & Julien Kensington -
Vava/signa par Nick Quasi-sans-tête
:inlove: Jop'Fiona Romney - Clary Lewis :inlove:







bouton du GT ★ Julien Kensington ★

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Nevan Baldwin
3e année
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Serpentard
Messages : 2179
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 09/03/2019 à 22:05:42

Il a l'air rigolo ce jeu :3 Je participe aussi, tiens o/
Julius Milazzo Di Lang
4e année
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Gryffondor
Messages : 4346
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 09/03/2019 à 22:24:15

Je poste pour ne rien louper !

YIP YIP APPA ! #gopoufsouffle
Emma Martinson
1re année
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Gryffondor
Messages : 2731
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 09/03/2019 à 22:26:04

De même que mon VDD, ça a l'air chouette !
Clary Lewis
7e année
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Gryffondor
Messages : 3487
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 00:22:49

Trop classe. Je participe aussi. Et poste pour ne rien louper :D

:inlove: Mirabelle Boutondore - Joplin Romney :inlove:

Inconnu
Ce sorcier n'est plus sur Poudlard12
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 10:18:05

Tout pareil que mes VDD, je participe 8-|
Iaril Karazyan
1re année
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Serdaigle
Messages : 2502
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 11:12:14

En voilà un petit jeu intéressant et qui peut être très utile pour comprendre certaines erreurs ! o/
Bronwyn Densmore
7e année
[Avatar]
Serpentard
Messages : 8939
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 11:30:39

Comme les VDDs, je trouve que c’est un jeu qui a l’air très intéressant alors je vais participer aussi.
Karigan Stèle
3e année
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Poufsouffle
Messages : 1271
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 12:58:43

Je participe aussi. Merci pour ce petit jeu. :)

Voir ce qui est juste et ne pas l’accomplir, c’est manquer de courage et de principes.
Confucius
Anoushka Alyeska
5e année
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Serdaigle
Messages : 5664
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 14:06:11

Yeah ! Je poste pour ne rien louper de ce nouveau jeu ^^









PJ de Ellana Spleen
© Nemo Tzarela - avatar
© Julien Kensington - signature
Anoushka Alyeska
5e année
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Serdaigle
Messages : 5664
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 14:06:29

Yeah ! Je poste pour ne rien louper de ce nouveau jeu ^^









PJ de Ellana Spleen
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Deliah Thompson
Capitaine
Chroniqueuse Chicaneur
Référente de la Faculté d'Art
1re année
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Serdaigle
Messages : 2574
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 14:07:59

Même chose que mes VDD. J’adore le concept !

« I broke all my rules of you. »

Joplin Romney
Apothicaire
Adulte
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Poudlard
Messages : 14557
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 16:21:27

Idée géniale et ce ne sera pas inutile (a) .

Lana Bennett
1re année
[Avatar]
Serdaigle
Messages : 2010
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 19:11:31

Je pars à la traque aux fautes! (6)

Emilie Syrma
1re année
[Avatar]
Serdaigle
Messages : 335
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 10/03/2019 à 23:41:09

woah ce jeu a l'air interessant! Et ça me permettra d'améliorer mon orthographe! 8-|

Anciennement Sorcière Emilie

Hestia Labrys
4e année
[Avatar]
Serpentard
Messages : 2886
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 12/03/2019 à 12:46:42

C'est tellement un bon concept !!! Je suis sûre que ça en aidera plus d'un (dont moi, je suis pas parfaite malgré les apparences). Petite question : on doit regarder à la ponctuation aussi ? J'ai jamais été très douée niveau virgules (a)

#TeamH #KrkrSheila
I'll take you to the dark side.
Avatar par la fabuleuse Hellia St.James
Héra Evans
5e année
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Gryffondor
Messages : 1234
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 12/03/2019 à 14:01:04

Super, je poste de suite !

Elliot Strand
2e année
[Avatar]
Serdaigle
Messages : 3691
Titre : Re : L'encre auto-correctrice
Créé : 12/03/2019 à 19:09:18

Votre enthousiasme fait plaisir à voir, merci pour vos gentils mots !

Hestia, la ponctuation n'a pas besoin d'être corrigée dans ce texte. En revanche, il est possible que nous vous proposions des extraits qui présentent ce type d'erreurs à l'avenir. Merci pour l'idée. :°

Vous avez encore jusqu'à la fin de la semaine pour m'envoyer votre texte ! N'oubliez pas de mettre vos corrections en gras pour me faciliter la tâche.


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