Lemony aime toujours autant la Valise, et lorsqu'il termine ces cours ce jour-là, il ne résiste pas à l'envie d'employer son temps libre auprès des animaux du Refuge.

Il peut les faire sortir dans le Parc, leur offrir un moment de bonheur, où ils oublient qu'ils ont été abandonnés. Ne pas venir alors qu'il en a le temps et les ressources serait égoïste. Cruel, peut-être.

La gorge de l'enfant se noue à la pensée de ses camaradesd e Serdaigle, qu'il n'est pas pressé de retrouver. Ils lui reprochent bien des choses, ont-ils seulement idée que la souffrance des autres le met à mal, où sont-ils persuadés qu'il est imbuvable, hautain et indifférent à autrui ?


L'atmosphère familière dissout ses pensées lorsqu'il pénètre dans le Refuge. Il a décidé de jouer avec une Salamandre, aujourd'hui. Il est un peu trop fatigué pour l'énergie que demande Lenny.

L'enfant passe devant l'enclos des chats ; il s'arrête au niveau de Cookies. Leur promenade lui revient régulièrement à l'esprit. Les confidences faites à mi-voix également. Le ronronnement de la chatte dans ses bras, qui l'a gonflé de chaleur.
La petite bête est dans son enclos, le poil emmêlé, roulée en boule dans un coin. Etait-elle aussi négligée la dernière fois qu'il est passé ?

— Coo...

Sa voix meurt dans sa gorge. Si elle ne lui répond pas, si elle l'ignore, le chagrin ruinera sa journée et il désire que celle-ci soit bonne.

Avant d'atteindre les Samalandres, cependant, il faut passer par les Gnomes. Ils sont deux. L'un est tout recroquevillé, défait, semblable à Cookies. L'autre, c'est Lenny, et Lenny est en train de creuser un trou dans un tapis. Lemony sourit en l'observant ; le Gnome l'aperçoit.

— Troudifficile !
— Je vois ça, commente Lemony, qui s'abstient de suggérer que c'est parce qu'un tapis ne peut pas être modelé en galeries. Lenny risque d'être triste, le seul moyen de le réconforter sera de le sortir et... ce n'est pas prévu aujourd'hui.
— Tu vas bien, Lenny ?
Les oreilles du Gnomes tombent, ses lèvres aussi, ses yeux aussi. "Zakpavenudemain".
— Je sais, soupire Lemony. Mais moi je suis là. On peut jouer à la balle ensemble si tu veux ?

Il en ramasse une ; elle lui échappe des mains et rebondit sur tous les murs. Lenny éclate de rire. Il file la rattraper et évidemment, lui, il la récupère du premier coup.
Ensuite il l'envoie à Lemony. Juste assez à côté pour que l'enfant soit obligé de bondir dans tous les sens pendant trois bonnes minutes.

— Eh bien, je ne serai jamais attrapeur, commente-t-il.

Mais les Parlambre n'ont pas véritablement un don pour le Quidditch. De toutes façons, Lenny rit si fort qu'il n'a pas dû l'entendre.

Ils font quelques passes jusqu'à ce que Lemony, en sueur, doive s'asseoir sur la barrière de l'enclos. Ses pensées reviennent vers Cookies. Il faudrait qu'il entre pour la caresser, au moins démêler ses poils. Se nourrit-elle correctement au moins ?
Si elle pouvait rire à ses passages, comme Lenny !

— Je dois aller voir d'autres copains, Lenny, explique-t-il. A bientôt !

Le Gnome ne s'en formalise pas : pourquoi le ferait-il ? Lemony n'est pas son éleveur, son éleveur c'est Zack et Zack n'est pas là. L'enfant est tout de même soulagé, il redoutait une crise de jalousie.


Il devrait aller vers les Salamandres mais son coeur le ramène près de Cookies. Délicatement, il rentre dans l'enclos.

— Cookies. Petite Cookies. Eh bien, tu n'as pas l'air d'être sortie cette semaine.

Vague tressaillement d'oreilles à son nom. Rien d'autre.

— Je vais te brosser doucement, prévient le sorcier. Ton poil est magnifique. Il n'était pas aussi sale la dernière fois. Que s'est-il passé? Les Magizoologues n'ont sans doute pas eu le temps de te brosser, encore.

Lorsqu'il a terminé son oeuvre, la chatte est déjà un peu plus active. Son regard s'est focalisé et sa tête n'est plus posée sur ses pattes.

Les mots se bousculent à l'intérieur de la bouche du petit garçon. Il a beaucoup de choses à lui raconter, après tout.
Ce qu'il faut à ce félin, c'est une attention quotidienne.
Il ne supporte pas de la voir ainsi. De la savoir ici, toute seule, sans soins.

Le petit museau rose renifle puis vient se poser contre le genoux du petit garçon et Lemony a envie de fondre en larmes. De la prendre dans ses bras, de la serrer, de ne jamais la lâcher.

C'est embêtant. Ca trouble ses plans. Il voulait adopter une Salamandre, véritable animal magique. Les chats sont particulièrement banals, et bien qu'ils soient de bons ratiers, ils sont surtout considérés comme des Domestiques au Domaine.

Je suis libre, songe Lemony En venant à Poudlard, j'ai décidé d'être libre.
Il a besoin de le dire à Cookies mais il y a trop de monde autour ; il leur faudrait une alcôve.
Il murmure :

— Cookies. Je vais lancer la procédure de Parrainage. Et à la fin, je t'adopterai. Je passe par le Parrainage pour que ces changments ne te brusquent pas trop, et pour que tu puisses me montrer si toi, tu es en désaccord avec... le fait de m'avoir comme... éleveur.

Il sent ses glandes lacrymales se gonfler de larmes. Mais la femelle se contente de fermer les yeux quelques secondes avant de les rouvrir. En langage de chat : "Oui".
— Je reviens ma petite Cookies. Je vais faire la demande et je reviens. On ira dehors un petit peu, hein ?


Lemony trouve un Magizoologue et, grâce aux cours d'étiquette et apparences maintes fois répétés et relus et entendus, sa voix camoufle son angoisse.

— Bonjour. Je voudrais parrainer Cookies. Il y en a plsuieurs ici ; je fais référence à la petite chatte là-bas, qui est considérée comme 'apathique." Ce faisant, j'ai des questions. Quel âge a-t-elle ? Est-ce un bébé ? Puis-je, si cela ne lui fait pas trop, changer son nom ou cela est-il impossible ?

Il songe à ses parents. A ses Précepteurs. A l'expression de son père lorsqu'il croira que son fils a appelé un chat Cookies (parce qu'il est hors de question qu'il sache que Lemony adopte en Refuge. Un Parlambre ne prend que le meilleur, et le meilleur est expansif, de toute évidence.)
A l'expression blasée de sa mère, presque encore pire. Elle s'est résignée–

— Je désire parrainer Cookies, réitère-t-il. Quoi qu'il arrive.

Ensuite, peut-être pourront-ils faire un petit tour dehors ?

Lemony pousse la porte du refuge avec une légère appréhension. Il est revenu rapidement ; il espère qu’Ostara n’est pas là où il l’a laissée la dernière fois, et que sa gamelle a été renouvelée. Cela voudra dire qu’elle s’est nourrie en son absence.

Il ne peut pas s’empêcher de faire un détour par les enclos des Gnomes. Il n’adoptera peut-être pas Lenny, bien trop proche d’un bambin de deux ans à son goût, mais il reste attaché à la créature.

Il place son cadeau pour Ostara dans le fond de sa poche enchantée, ne se faisant guère d’illusion quant au potentiel chaotique et destructeur du Gnome.

— Salut Lenny ! Comment vas-tu–
Il laisse le « aujourd’hui » mourir dans sa gorge. Inutile de rappeler au Gnome le cours du temps. Lenny sort de la Maisonette avec espoir.

— Onvajouer ?
— Il pleut dans le parc, objecte Lemony. Tu prendrais froid. Tu veux jouer ici ?

Lenny sautille, et Lemony ne fait pas assez attention à la lueur espiègle dans le regard du Gnome. Dès qu’il ouvre la porte pour entrer, le petit être se faufile hors de l’enclos.

— Attrapmoipas !

Flûte.
Pour l’avoir déjà accompagné en sortie, l’enfant sait que le Gnome court vite. Et qu’il aime creuse. Il n’a absolument aucune envie d’être responsable d’un Lenny réduit en petit déjeuner pour Eruptif ou Zouwu sous prétexte qu’il aura pénétré dans leur enclos. Il fait volte face et cours à sa poursuite.

Il est inutile de s’énerver, de crier, de lui hurler dessus. Au contraire, Lenny est un bébé, il risque de prendre peur.
Lemony reste immobile, utilise son ouïe pour repérer les bruits de pas et le petit ricanement que le Gnome n’arrive pas à arrêter. Heureusement pour lui.

Il pense quand même à refermer l’enclos ; lorsqu’il arrive à un croisement, il s’interroge à voix haute :

— Mmmh où est-ce qu’un Gnome peut bien vouloir se cacher ? Près d’Araignées Géantes et peu commodes, ou près de gentils Botrucs ?

Okay, le piège est grossier. N’empêche que Lenny pousse un petit cri étranglé et file vers la zone réservée aux créatures pour deuxième années.
Ca, c’est fait.

Mais le temps que Lemony arrive, la créature s’est mise en tête de convaincre les petits arbres de crocheter la serrure de leur propre enclos.

— Ohlà, non, on ne fait pas ça !
— Tumaurapa.

Lemony n’aime pas particulièrement être au centre de l’attention ; lorsque c’est pour se donner en spectacle, il déprécie carrément.

Le fait est que Lenny se glisse entre ses jambes, le fait trébucher, et file à l’autre bout du refuge.
Il paraît excessivement intéressé par les aquarium avec les Strangulots ; Lemony le rattrape juste avant qu’il se décide à plonger.

Cette fois, il prend garde à ne pas annoncer sa présence, et ses doigts se referment sur l’épaule du Gnome. Celui-ci rigole toujours, mais quand il comprend que l’enfant va le ramener dans son enclos, gniaque sa main.

Si Lemony ne le laisse pas tomber avec un cri de surprise, c’est parce qu’il s’y attendait. Il serre les dents et tressaille sans lâcher prise. Puis il ramène Lenny à hauteur de visage pour lui faire les gros yeux.

— Non. On ne mord pas les gens.
— TespasZak, réplique le Gnome.

Ah, il s’y attendait aussi, à celle-là. C’est un peu affolant qu’il comprenne à ce point comme Lenny fonctionne, déjà. En attendant, ce n’est pas parce qu’il n’est pas son éleveur qu’il n’a pas à le reprendre, d’autant plus qu’il est l’éleveur qui prend actuellement le temps de jouer avec lui.

— Et toi, tu n’es pas gentil, réplique-t-il froidement.

Comme n’importe quel bambin, Lenny explose en sanglots. Le sorcier le ramène dans son enclos, referme toutes les issues, puis prend le temps de le réconforter en le posant sur ses genoux. Il a un peu mal au coeur, de voir la créature dans cet état-là.

— Promener, geint le Gnome. Promener, promener.
— Non. La prochaine fois que tu veux te promener, tu évites de mordre l’éleveur qui t’emmène en sortie. Mais on peut jouer à cacher… ceci.

Lemony sort une Mornille de sa poche, en espérant ne pas se retrouver submergé par une horde de Niffleurs dans les prochaines minutes.

Au bout de quatre tours, il n’a plus d’idées de cachette et il est anxieux à l’idée qu’Ostara ait senti son odeur et pense qu’il ne viendra pas la voir.
Il sait qu’elle n’a pas confiance en lui, qu’elle ne le croit pas quand il assure qu’il l’adoptera après le parrainage. Lenny garde jalousement la pièce d’argent, et d’accord, il n’a pas eu de cadeaux depuis longtemps, mais l’enfant est à peu près sûr que ça ne fait pas partie des objets autorisés dans l’enclos.

— Lenny, nous devons respecter les règles. Je ramènerai la Mornille une prochaine fois, mais si tu ne me la rends pas, je vais me faire gronder et je ne pourrai plus jouer avec toi.

Alors qu’il s’apprêtait à devoir longuement négocier, le Gnome vient docilement lui rendre son jouet. Lemony le remercie avant de s’éloigner, prend quelques instant pour lui.

Il passe toujours plus de temps que prévu au Refuge, parce qu’il ne peut pas s’empêcher de jouer avec Lenny. Mais il n’est pas le sorcier idéal pour un Gnome, et surtout, il n’est pas disponible pour lui.

Il faut un éleveur à ce petit. Il a besoin de se défouler, il est bavard, et même s’il reste persuadé que Zak va revenir… Il est prêt à être adopté par un autre.


— Ostara ? Je suis désolé, j’ai dû faire un détour. Un Gnome m’a mordu, j’ai redouté que ça s’infecte… Veux-tu voir ?

La petite chatte ne réagit pas à son prénom ; à peine à sa voix. En revanche, dès qu’il entre dans l’enclos, elle relève la tête et tend le museau.

— Je suis ton éleveur, répète Lemony. Je vais toujours revenir.

Ostara tend le cou vers la main blessée avant de reculer, les poils du cou hérissé. Est-ce que c’est l’odeur acide du désinfectant qui provoque une telle réaction ? Lemony met la main dans sa poche afin d’éviter de la toucher avec.

— Ca te déplaît, n’est-ce pas ? Ostara, je t’ai apporté quelque chose. Un présent que je t’avais promis.

Il glisse sa main gauche dans sa poche, et peine un peu à retrouver la pelote de laine et à la récupérer sans qu’elle ne se déroule. Il la pose devant le chat, qui renifle avant de plutôt regarder le sorcier.

— C’est une pelote de laine. En jouant avec un peu tous les jours, les muscles de tes pattes récupérerons. D’ailleurs, est-ce que tu as mangé et bu depuis mon départ ?

Il se retourne vers les gamelles, placées suffisamment loin pour l’obliger à se lever, et suffisamment près pour ne pas la dissuader. L’enfant a un petit soupir en constatant que la nourriture commence à durcir un peu.

Il récupère les gamelles et les poses devant Ostara, qui s’empresse de laper l’eau. Elle manger aussi, mais de façon moins urgente ; elle a dû dîner la veille.

— Mow, proteste-t-elle lorsqu’il replace les gamelles plus loin.
— Il faut vraiment que tu reprennes des forces. Je veux bien les rapprocher un peu mais tu dois exercer tes pattes.

Il fait rouler la pelote de laine devant elle, puis agite le fil. Les oreilles de la chatonne se dressent. Lemony agite un peu plus, fait reculer le bout. Ostara grogne ; il lui redonne rapidement. Ses yeux surveillent la laine avec intérêt.
Il agite un peu plus, fait de nouveau mine de retirer la pelote… La patte tricolore bondit, toutes griffes dehors, et immobilise l’objet.

— Bravo ! s’écrie-t-il, tout joyeux, s’empêchant de sautiller parce que tout de même, le decorum.

Il fait passer les fils sur le corps de la petite chatte qui ouvre de grands yeux, un peu affolée.

— C’est de la laine, l’apaise-t-il. Juste de la laine, Ostara. Regarde.

Il fait passer la laine sur ses doigts puis, sur ses épaules, et finit à peu près aussi entortillé que la pelote. Il se sent un peu piteux, sauf que Ostara cligne des yeux et commence à ronronner. Visiblement, la situation l’amuse grandement.

Lemony se détend, laisse échapper un petit rire. Il tente de les dégager tous deux ; Ostara tâtonne avec ses petites pattes, puis attrape la main de l’enfant.

Elle commence à se frotter dessus avec une férocité qui désarçonne un peu le garçon, jusqu’à ce qu’il se rappelle avoir été mordu par Lenny. Serait-elle… jalouse ? Ou tout au moins, un peu possessive. Déjà assis, l’enfant pose son visage sur le coussin de la jeune chatte.

— Je suis là, Ostara. Je suis ton éleveur, et rien ne changera ça.

Ce week-end, il viendra la chercher pour l’emmener au jardin fleuri.

* La jeune femme était venue ici à plusieurs reprises dans l'espoir d'adopter une créature qui aurait été abandonnée par son précédent éleveur. A trois reprises, elle avait pu adopter une créature pour la sortir d'ici.

Aujourd'hui la jeune femme se rendit près de Némésis, une éruptif qu'elle avait repéré la dernière fois qu'elle était venu ici avant d'adopter Moira. Elle voulait jouer avec elle pour lui égayer sa créature. Pour cela, la blonde avait prit une immense balle qu'elle souleva par magie. La magie était pratique dans beaucoup de situations.

Puis elle arriva vers Némésis. *

Bonjour ma grande ! Tu vas bien ? Je suis venue jouer avec toi avec cette grande balle.

* La jeune femme lança magiquement la grande balle vers Némésis qui courut vers la balle et la renvoya vers la jeune femme. Le duo répéta l'opération à plusieurs reprises. Némésis semblait contente de pouvoir jouer avec une autre personne qu'un des magizoologistes.

Théodora rigola aux éclats. Cela l'amusait beaucoup et elle pourrait jurer avoir vu Némésis sourire. Ensemble elles jouèrent pendant plusieurs minutes avant que Théodora ne doive repartir. Mais elle lui promit de revenir le plus rapidement possible. *

* La dernière fois qu'elle était venue dans le refuge, la jeune fille avait adopté Calypso, son strangulot. La créature avait réussis à gagner son coeur et la jeune Hargreeves l'avait prise sous son aile. Mais il y avait une autre créature qui avait réussis à capter son attention. Mais la jeune fille ne pouvait pas l'adopter car il s'agissait d'une créature de 7e année, donc hors de sa portée pour le moment.

Cette créature n'était autre que Némésis, une Eruptif. La jeune fille l'avait observé pendant quelques minutes se disait qu'une grande créature serait un défi pour elle qui n'avait élevé que deux petites créatures.

Il ne fallu pas longtemps à la jeune fille pour retrouver Némésis dans les couloirs du refuge. Octavia s'approcha d'elle vivement mais sans lui faire peur pour autant. *

Salut Némésis ! Tu vas bien ?

* Octavia aimait leur parler comme si elles pouvaient lui répondre. Cela l'amusait et aimait voir l'expression sur leur visage. *

J'espère que tu as passé de bonnes fêtes. J'en suis même sûre. Les magizoologistes ont dus bien s'occuper de toi et les fêtes ont du être somptueuses ! Tu as dû bien manger et bien t'amuser aussi ! Mes fêtes se sont bien passées aussi !

* La jeune fille continua de parler à la grande créature pendant quelques minutes, lui racontant ses fêtes et en lui posant des questions sur les siennes. Puis elle finit par repartir pour continuer de vaquer à ses occupations. *

* Débra avait entendu parler de la valise depuis un moment maintenant. Certains élèves de Serdaigle aimaient parler de leurs créatures et petit à petit les paroles avaient données envie à la jeune fille de venir y faire un tour dans l’optique de parrainer. Débra avait du mal à se décider sur le choix de la créature, mais au final elle ne parvenait pas à déterminer la créature qui lui correspondait le plus. Débra entra donc dans la réserve pour chercher un magizoologiste pour trouver un peu d’aide sur le choix d’une créature. *

- Bonjour, excusez moi de vous deranger, mais est ce que vous pourriez m’aider? J’aimerais parrainer une créature, mais le nombre d’especes ne m’aide pas vraiment à en choisir une.

* Débra sourit au magizoologiste en attendant une prise de parole de sa part. La jeune fille espérait vraiment que l’adulte allait pouvoir la guider vers la créature qui lui correspondrait le plus. *

* Debra se sentait attristé par le destin tragique des diverse créature qui se retrouvaient au cœurdu refuge. La sorcière travaillant au sein de la valise fini par s’occupé d’elle. La jeune fille pouvait comprendre que la valise prenait beaucoup de temps surtout si on voulait la gérer au mieux. *

- Je serais bien incapable de choisir une creature se trouvant ici. Elles ont toutes besoin d’attention et d’amour.

* Débra regarda Aaliya prendre une sorte de formulaire afin de le lui donner. La Serdaigle allait devoir prendre le plus grand soin de ce morceau de parchemin. Elle avait la certitude que cela avait pour unique but de trouver la créature parfaite. Debra se mit donc assez vite à écrire. *


* Debra venait de terminer de remplir le parchemin et elle se demandait si cela allait véritablement aider la magizoologiste a trouver le compagnon idéal a debra. La jeune fille tendis le parchemin à Aaliya. *

- J’espère que cela vous suffira.

* Debra souris a la personne qui s’occupait d’elle et attendit de voir ce qui allait se passer maintenant. *